BERGERE PAS DE TENTATION (SUITE)
(par Jean-Marie Villette)

Chapitre 4

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TENIERS LE JEUNE, SUITE … (ET FIN ?)

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PREMIERE PARTIE



Ce dernier article sera peut-être un peu long et compliqué à lire ou à décrypter pour certains, mais à mon humble avis il serait d'une importance cruciale.

 

Si les calcul concernant les triangles d'or du tableau des Tentations Capitales vous posent problème, je vous invite à consulter le début de cette première partie en laquelle j’apprends à ceux qui voudront bien, à découvrir des clefs arithmétiques des triangles par mes raccourcis faciles, mais si cela vous ennuie (ce que je comprends aisément !), ne ratez tout de même pas la deuxième partie, du chapitre en laquelle, vous n'allez pas m'en croire, nous évoquerons la colline d'En Couty… ! Hé bien, si ! Mais pas tout à fait pour les bonnes et mauvaises raisons que vous connaissez déjà, comme tout le monde ! Et … ne négligez en aucun cas non plus la troisième partie pleine d'authentiques scoops !

 

Les choses bougent !

 

D'autre part ne ratez pas mon interprétation intuitive mais profonde (j'espère ?!) de l'expression '' le Cheval de Dieu'' puis, non plus, un décryptage du titre de Leblanc ''L'île aux trente cercueils', un détail totalement inédit (entre autres, parmi tant et tant que j'ai toujours en réserves et en archives!) … et le début de la révélation de maints étranges détails, tous vérifiables sur le terrain du Razès … Pas du roman, mais de longues séries de patientes études qui commençaient à s'ennuyer sérieusement en mes dossiers depuis plus de 20 ans ! Et après cela si vous avez envie de critiquer, ou de m'engueuler, ne vous gênez surtout pas, mais faites le poliment, S V P ! Merci d'avance!

 

Heureux celles et ceux qui retrouveront le chemin tant recherché !

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Autre bonne nouvelle :

Le triangle isocèle d'OR (dit triangle SUBLIME) du tableau des Tentations Capitales de David Téniers le Jeune, triangle exceptionnel pointé en grosse partie selon ''la non moins sublime ''langue aérienne des oiseaux ''Pythagoriciens'' !'', mesurerait bien ~15, 1086cm de base, et ~24, 4457 cm de côtés (égaux), donc nous offrirait un périmètre de ~64 cm.

 

~64 cm, en analogie numérique avec, non seulement le triangle géométrique d'or du tableau d'Antoine en méditation devant la grotte aux oiseaux et à la bergère (voir mon premier chapitre), mais aussi analogie numérique avec les deux échiquiers de 64 cases emplis des lettres ayant servi au fameux décodage de l’épitaphe de la tombe de la Marquise de Blanchefort Hautpoul !

1 Triangle isocèle d'Or dit triangle sublime

 

Ce serait donc la preuve objective que le poète oulipien Philippe De Chérisey quoique empli de caustiques dérisions (mais dérisions à tant de vraies et belles et fortes connaissances mêlées !), finalement ne nous aurait pas trahi pour l'essentiel !

 

Car il m'en vint de douter sérieusement que Philippe De Chérisey fut l'unique auteur et acteur du spécieux décodage se réduisant à très peu de chose près à une simple anagramme forcée, quant à elle, très bien codée, de l’épitaphe de la tombe de la Marquise) … ! ... (compliqué ?)

 

Philippe de Chérisey serait peut-être l'auteur de l'idée  initiale de la supercherie, cela demeure possible, voire probable, car cet acte semblerait bien cadrer avec son esprit fantaisiste incontrôlable, mais il n'est, ni ne saurait être pour autant l'auteur du projet techniquement abouti.

S'il a participé, il n'en aura pas été le concepteur de la drôle de manipulation, ni son grand réalisateur.

Ce n'était pas son genre et après tout, en avait-il toutes les capacités pour réussir ?

Nous en doutons ...

 

En revanche, je le soupçonne fort d'avoir été un des artisans des cryptages numériques subtilement introduits dans le célèbre texte de 128 lettres ''Bergère ... etc … pommes bleues'', fruit du faux décodage et anagramme approximativement tricoté et rhabillé à l'aide d'une grille, celle du Code de Vigenère inversé avec peut-être l'aide efficace d'un professionnel du codage et du décodage et qui avait sous les yeux la bonne phrase à obtenir !

Voilà qui est plus plausible ... Mais toutefois, quelle patiente et délicate manipulation !  … 

 

Voici d'ailleurs un autographe du marquis écrit en anglais où il se vante d'être l'auteur de la célèbre phrase « Bergère pas de tentation que Poussin Téniers gardent la clef ...etc. » … et je pense qu'il ne ment pas tout à fait ! … oui, juste l'auteur car il c'est sans doute lui qui l'aura imaginée globalement bien avant le faux décodage exécuté !

 

2  Autographe De Chérisey

 

Et il y a aussi et surtout ce mystérieux autographe en lequel le marquis Philippe de Chérisey félicite une personne non nommée, sans doute un proche (?) et qui serait probablement l'auteur du gros œuvre du faux décodage (car pratiqué à l'envers !) afin d'arriver au résultat prévu à l'avance par De Chérisey !!!

 

« Je vous considérais comme un demi farceur. A mon avis vous êtes parti des fautes de la pierre pour dégager le mot MORTÉPÉE dont vous vous êtes servi pour fabriquer l'ensemble + des 128 lettres parasitaires du document II. Ceci n'ôte rien à la performance du calisateur qui est en effet le plus beau connu jusqu'à ce jour ni à l’ingéniosité de votre interprétation mais ne permet pas de vous classer tout à fait dans le catégorie des mystificateurs parfaits.»

 

C'est pour moi un bel exemple d'humour au ''second et voire au troisième degré'' ! (avis personnel)

 

Or donc, quoiqu’il en fut, je pense que nous n'avons pas été trahis … sur les points essentiels.

 

La petite équipe nous aura produit un précieux chef d’œuvre paradoxal qui est cette phrase joliment cryptée, fruit d'un décodage ''bidon'' sur le gisement de lettres du texte complet de la stèle de la Marquise de Blanchefort. Un gisement de 119 lettres, augmenté de ''P.S. PRÆ-CUM'', 9 lettres gravées et terminant l’épitaphe mortuaire sur la dalle de cette même tombe, permettant ainsi d'arriver aux capacités exactes du double échiquier : 128 cases, 128 lettres, et cela avec une méthode plus qu'originale (parce qu'oulipienne !).

Il vous suffit de lire de très près la méthode de décryptage avec la grille de Vigenère rapportée de manière objective et ultra précise par Alain Féral en son bel ouvrage ''Clefs du royaume des morts'' éditions Bélisane, pour être en mesure de suspecter sérieusement les entourloupes, celle de la ''clef courte''
'Mortépée'', mais aussi, et surtout, de la fameuse ''clef longue'' qui n'était, cette dernière, que le retour final au gisement des lettres originelles pratiquement au complet … afin de respecter la bonne anagramme fabriquée à l'avance ! La classe !

Ajouter à cela sept substitutions dues aux lettres indésirables ou carrément impossibles à introduire afin d'obtenir l’excellente phrase prévue d'avance pour fabriquer l’anagramme que vous connaissez … ! ... À partir de là, on ne se pose que les bonnes questions !

En effet, on nous aura monté de toute évidence un décodage de l'énigme pratiqué à l'envers absolu, sans parler des petits arrangements et bidouillages, mais ce qui représente tout de même une authentique performance d'illusionniste de salon (!), me dit Flo !

 

''Un sacré tour de force, mais je n'ai pas dit forcément ''de farce'' … me lance-t-il, ce jeune rigolo de chenapan !

Donc à priori à prendre tout de même avec des pincettes ouatées, comme j'en exprimais le pressentiment au premier chapitre.

 

Mais il est vrai aussi, qu'en revanche, les coupables de cette audacieuse manipulation en ont profité pour nous coder fort intelligiblement un faux résultat sous forme d'une relative anagramme à prendre en compte car finement concoctée à l'avance avec ses codes numériques et symboliques tout à fait respectables; et malgré les inévitables scories, on nous aura ouvert de manière toute autant efficace les yeux et caressé les neurones sur la seule vraie route à suivre, en surfant sur un cryptage nécessaire et cela par trois tableaux, donc un triptyque composé de :

3  Tableau Ermite méditant en paix devant la grotte (Téniers le Jeune Valencienne)

 

1)     ''Ermite méditant en paix devant la grotte'' de David Téniers le jeune, avec à l'arrière plan la fameuse Bergère tant recherchée mais incontestablement trouvée.


https://tresormontsegur.files.wordpress.com/2012/12/nicolas-poussin-les-bergers-darcadie.jpg

4 Les Bergers d'Arcadie (Poussin Louvre)

 

2)     ''Les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin'' contenant la marche à suivre sur le terrain aussi précisément que sur la carte I.G.N. !



5 Les Tentations Capitales (Téniers le Jeune, le Prado)

 

3) ''Les Tentations Capitales'' de David Téniers le Jeune, ainsi ai-je choisi de mieux renommer notre dernier tableau analysé … et qui n'avait jamais été judicieusement nommé, cela aussi indubitablement, va sans dire !

Ce tableau n'a pour but que de certifier les clefs exprimées par le génial et très honnêtement rigoureux (et précis !) Nicolas Poussin

 

Je conçois que si l'affaire est subtile (et ma foi passionnante), elle est tout de même un peu compliquée quant on aborde le tableau des TENTATIONS CAPITALES, notre tableau du jour, car elle se présente comme une suite de vrais et faux mensonges et de paraboles, mais qui n'ont paradoxalement qu'un but, celui de livrer en dernier ressort la vérité vraie aux très rares chanceux et perspicaces … cela nous rappelle l'esprit et la logistique poétique d'un certain Jean Cocteau (mais qui aurait fait allégeance à Pythagore !!!), lequel immense poète prétendait justement que ''La poésie est un mensonge qui dit la vérité''.

Ne sommes nous pas tombés en pleine inachèvement alchimique du ''poème'' ? Je penserais complaisamment que ce serait précisément le cas !

 

L'analyse n'est pas terminée, loin s'en faut …

mais je préviens tout de suite qu'il y a de fortes chances, comme chez les alchimistes, que je n'aille pas jusqu'au bout du ''Grand Œuvre'' … et toutes proportions gardées, je vous dirai pourquoi j'hésite à livrer certaines vérités.

Ce sera à vous même de continuer ... si vous voulez ou le pouvez, pour ceux qui auront suivi et qui en auraient envie… j'avoue que ce n'est pas commode … c'est normal, mais je vous donne pas mal d'indices !

Offrez vous les moyens de vérifier les dimensions des triangles d'or sur une copie de dimension confortable du tableau des Tentations Capitales de Téniers le Jeune dont vous connaîtrez le rapport arithmétique avec l'original.

Mais attention !!! Vous n'aurez qu 'un résultat approximatif si le tableau reproduit n'est pas exactement coupé (comme le plus fréquemment et je pense que c'est justement le cas sur la photo des Tentations Capitales, excellente par ailleurs qu'on nous a proposé !) sur les vraies limites de la surface peinte, mais sur celles de la surface encadrée … Haï ! ... d'où résultats probablement très contestables et pièges à regrettables erreurs.

 

Ces triangles d'or , quant à eux, ne sont suspects d'aucunes douteuses manipulations et c'est donc une découverte, je le pense, majeure, à cause de cette langue sublime de la géométrie d'or portée par des oiseaux en vol qui à ma faible connaissance serait unique, au point qu'on peut les considérer comme l'expression de la langue des oiseaux pure et dure ! Peu banal ! Donc à prendre au sérieux, car philosophiquement, cela se tient … et c'est très fort !

 

J'ai eu enfin l’opportunité de connaître les dimensions vraies des triangles grâce à mes antécédents en une école d'art, donc par l'intermédiaire de profs à en croire leur réputation, honnêtes et fiables, et j'ai bien sûr vérifié comme j'ai pu de mon côté ... Quoique tout le monde de s'attendre à une classique et pourquoi pas automatique (comme le réflexe de Pavlov, vous connaissez, concernant les chiens ?) protestation provenant d'un certain clan de furieux aboyeurs … ''Les chiens aboient souvent ne serait-ce que pour se rassurer eux mêmes'' (''Hum … ou alors dis tu cela pour te rassurer toi même'' ? … me lance Flo, biaisant, ce fourbe …)
Perso, j'adore les risques … le risque consenti est estimable … mais je préviens tout de même mes lecteurs …

N'est ce pas Blaise Pascal, je crois, qui aurait inventé un pari grave mais cependant très commode parce qu'avec celui là il ne risquait pas être démenti  … en tous cas jamais en ce bas monde !

 

Remarquez que je verrais bien l'un d'entre eux me poser la question : « Si tu n'es par sûr à 100 %, comment se fait-il que tu puisses affirmer qu'il s'agit de triangles d'or ??? »

… bien, alors il suffit de repérer au rapporteur adapté à l'écran, très exactement la valeur d'un ou deux angles car les valeurs des angles des triangles d'Or de toutes familles sont particulières et  bien connues !  … mais les rapporteurs ne rapportent (surtout pas les ragots !) ni les valeurs des côtés, alors vaut mieux connaître la trigonométrie … c'est utile ! … ou bien se servir de très bons logiciels … Cela existe et c'est encore mieux de s'en servir !

 

Mais revenons à notre prosaïque bergère.

 

Soit le gisement de 128 lettres du message Bergère pas de tentation … pommes bleues ..., extrayons la  triangulature numérique d'Or isocèle qui permettra de pointer en l'ordre des lettres dites d'or se cachant dans les mots de la phrase célèbre :

 

Bergère pas de tentation que Poussin Téniers gardent la clef pax DCLXXXI par la croix et ce cheval de Dieu j'achève ce daemon de gardien à midi pommes bleues

 

Comptons le total alphabétique des 128 lettres.

Exemple, le mot bergère :

 

( b = 2   e = 5   r = 18   g = 7   è = 5   r = 18 et e = 5. Total = 60)

 

Le total général des 228 lettres est égal à 1329.

 

Ce nombre doit être divisé par la valeur de la clef  arithmétique de la triangulature isocèle d'or et le nombre ainsi obtenu représentera la valeur abstraite d'une base tout autant virtuelle mais irréprochablement arithmétique !

 

Comment calculer cette clef arithmétique ? Très facile !

 

Soit b (la valeur abstraite de la base) la formule du triangle d'or isocèle s'écrira ainsi :

 

b + b Phi + b Phi  = P

 

P étant le périmètre du triangle !

 

Ensuite…

 

Soit b (la base) = 1

 

1 x phi = 1, 618 (nombre d'Or)

Alors nous écrivons  : 1 + 1, 618 + 1, 618 = 4, 236 !

 

C'est la réduction arithmétique de la formule et là la clef qui ouvre les valeurs de la base puis des deux côtés égaux.

 

Peut on faire plus simple ?

Non, impossible !

 

Et ce schéma est adaptable à toutes les espèces de triangles d'or !

 

Seulement voila, je n'ai pas trouvé cette méthode fiable et simple sur les bouquins officiels ni sur Wikipédia, c'est vrai, c'est trop simple et pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? … Jamais Wiki ne me copiera et nul ne me donnera le prix Nobel pour autant (!), soyez tranquilles, pour les avoir inventées à mon usage de cancre paresseux mais réfléchi cherchant à me bricoler des raccourcis fiables afin d'aller vite et bien sans me ''prendre la tronche'' ! (signé Flo!)

 

Élémentaire ! Niveau du cours moyen ! Vous n'avez aucune excuses pour l'ignorer, et la méthode est valables pour toutes les sortes de triangles d'or ! A la portée immédiate des super gros nullissimes en calcul et cancroïdes distingués comme moi !

 

Nous actionnons notre clef  arithmétique sur le total 1329 afin d'obtenir la base :

 

1329 / 4, 236 = 313, 74 = b (OK?)

 

Et les valeurs des deux côtés égaux sont  : 313, 74 x Phi = 507, 63 (chacun) (OK?)

Ne pensez plus que c'est dur !!! Purement enfantin.

 

Voyons donc : sur quels mots tombent les lettres dites d'Or ?

 

Premier décompte, la base = 313, 74 (en arrondi supérieur = 314, les chiffres basiques de Pi !) nous indique globalement dans la phrase le mot : Poussin. (Tiens ? … Pi avec Poussin ne saurait-il  n'être qu'un hasard à cause du rôle fondamental des deux cercles concentriques soutenant le tableau des Bergers et jouant à eux deux le décryptage du tableau avec Pi étant naturellement la clef des cercles et de leurs diamètres respectifs !?)

 

Second décompte, la valeur des côtés égaux : soit 507, 63 (en arrondi inférieur 507, 50), indique idem le mot Croix et 507, 63 (en arrondi inférieur 507, 50) indique idem le mot Bleues.

 

Se retrouvent donc isolés les trois mots : Poussin, croix, bleues

 

Bergère pas de tentation que Poussin Téniers gardent la clef pax DCLXXXI par la croix et ce cheval de Dieu j'achève ce daemon de gardien à midi pommes bleues.

 

 Vérification : 314 + 507, 50 + 507, 50 = 1329, tout est OK, même avec les arrondis !

 

 Et maintenant : Poussin + Croix + Bleues = (en valeurs alpha) 113 + 69 + 64 = 246

 

Alors permettez moi d'extrapoler !

Nous savons que messieurs De Chérisey et Pierre Plantard ne méprisaient pas l'ouvrage de l'abbé Henri Boudet, La Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes les Bains !

 

Donc ouvrons vite le livre (sacré pour certains!) : Abbé Jean-Jacques Henri Boudet : page 246 de La Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes les Bains, c'est la page que Flo a fini par nommer fort judicieusement ''la page des Cercles mous et flous'' (en veux tu, en voila de soit disant cercles ou plutôt de ''suggestions et pressentiments de cercles'' en cette page … un festival, oui mon neveu !)

 

Notons de suite que l'écriture du nombre 246 de compose du chiffre 2 et du nombre 46, et que le 46 est comme par hasard la valeur alphabétique du mot cercle !

Cher Monsieur l'abbé, quelle curieuse coïncidence ! Êtes vous certains que vous n'y soyez pour rien ?

 

Nous avons en réalité affaire à 2 cercles concentriques, bien entendu démontrables en les Bergers d'Arcadie justement de Poussin qui est notre premier mot désigné, ne l'oubliez pas …  !)

 

6 Les deux cercles dans les Bergers d'Arcadie tableau intégral, de Poussin

 

Très bien, vous y êtes, mais vous constaterez, si vous lisez de près  cette page du Boudet (qui en vaut la peine !) que l'auteur semble éluder (comme à plaisir) l'information du point exact du centre de son fameux cercle Chromleck (le petit cercle tracé en bleu retranscrit sur la photo des Bergers et en fin de texte,vous saurez pourquoi il est si enfantin de le transcrire sur le tableau) et que cette page n'est d'aucune façon la page du ''Centre du Cercle du Cromleck de Rennes les Bains'', comme certains étourdis l'ont affirmé, car un cercle a pour centre un point … immatériel ... et un point immatériel, donc, ne saurait être, ni même représenter un ''lieu dit'' … (ni un lieu géométrique ni un lieu géographique), impossible. Quoique les ''magiques géomètres de l'ésotérisme'' ne manqueront pas de vous répliquer ce merveilleux principe de magie blanche : ''le cercle est le centre et le centre est le cercle'', ce qui n'est pas faux car cela se décrit par un raisonnement incontestablement logique par le sens des infinités de rayons concentrés dans le cercle autant que sur le point du centre (je le reconnais !), mais pour l'instant tenons nous en à la géographie locale et à la géométrie trivialement ordinaire !

 

Et pour commencer, de quel lieu dit nommé ''le Cercle'' parlerait-on avec l'abbé ?

 

Voici ce que nous trouvons dans le genre des lieux-dits évocateurs d'un cercle, tous situés en ce mouchoir de poche géographique du sud de R.L.B., évoqué  par l'abbé. Serait-ce :

 

Le hameau du Cercle 

La fontaine du Cercle 

La source du Cercle  

Le quartier dit du Cercle   

La Croix dite du Cercle 

Ou bien l'agglomération de ces 5 lieux-dits, ce qui ferait en tout 6 lieux-dits du Cercle ?

 

La confusion est totale si nous nous tenons en ce périmètre restreint.

Six dénominations réelles et virtuelles ''Le Cercle'' se présentent sur une partie du territoire du village ! Mais une partie de territoire, même infime, ne saurait définir ni symboliser un point abstrait et immatériel !

Boudet avait d'ailleurs intérêt à occulter l’existence du vrai centre de son (faux) cromleck (mais vrai cercle) aux yeux des gens pressés, distraits, naïfs … hé oui, il essaie de nous égarer tout en suggérant la solution ... aux plus futés qui ne se laissent pas influencer par ses improbables raisonnements si imprécis ... ''Comme un bla-bla de camelot de foire ?'' … rajoute mon impertinent de Flo !

 

Car Boudet parle ainsi : ''en appelant cercle- to circle (cerkl'), environner, entourer -,  le point central du cromleck des Redones et renfermant ainsi un petit cercle dans un plus grand ...''

… En effet, ce n'est pas du tout un langage de géomètre fixant un point central… mais en revanche, répartis-je, il met bien l'accent sur deux cercles (concentriques) mais paradoxalement non centrés ... cependant bien présents, et que le bon abbé nous les suggère ! 

Donc leur centre commun serait bel et bien ce que nous recherchons ?



7 Les deux cercles (agrandissement)

 

Comme vous vous en doutez si vous êtes habitués aux styles des cryptages Boudétiens, que le mot nommant la position du centre tant recherché nous arrivera un peu plus loin dans le livre grâce à une bien simplette opération (addition) qu'il faut effectuer depuis la page 246 (là où nous sommes), avec … (mais si !)la valeur alphabétique du mot CERCLE (= 46) rajoutée au numéro de la page 246 !

 

 ''Joli tour de passe passe pour un simple camelot !'' répliquais-je à Flo, ce chenapan ! 

 

46 est donc la ''valeur ajoutée'' ... alors voyons donc 46 pages au-delà de la 246, c'est à dire à la page 292  !

 

Attention, il s'agit de deux cercles concentriques de proportion 1 et 2) comme nous le suggère fermement  Poussin et bien plus discrètement Boudet … ''un petit cercle enfermé dans le plus grand'', comme nous le rappelle gentiment Boudet tout en nous baladant autant qu'il le peut, sans nous enseigner clairement (à moins que l'abbé espère que nous connaissions tous par cœur la démonstration du maître Nicolas Poussin sur ses B.A.?!), qu'ils sont bien de proportion 1 et 2 donc, le centre du second cercle, le plus petit, correspondrait au n° de ligne  2 (4+6) = n° 20* pour le repérage du niveau de la ligne à considérer page 292 ?

Le mot sera donc probablement à la ligne 20 de la page 246 + 46  = 292 !

 

… peut-on faire plus clair et élémentaire comme cryptage ?? ...je ne crois pas ! Mais beaucoup de cryptages Boudet sont aussi simples et efficaces que celui ci, à condition d'avoir eu la chance de décoder Poussin qui est d'une précision académique et qui nous évite toutefois de nous embourber sur des voies de garages encombrées des incoercibles sables mouvants (souvent fabriqués!), car fruits de l'imagination fantasmatique et parasite du décrypteur (ou se croyant être) car même pour un chercheur aguerri, les illusions et les pièges sont quasiment infinis sur un tel texte commis par l'incroyable Boudet ! Nul n'est à l'abri, et moi je suis comme les autres malgré déjà une trop vieille expérience !!!

 

Boudet, je le répète, est le très discret porte parole du Poussin !

 

C'est le genre de cryptage que préférait l'ami Henri Boudet afin que les personnes trop sérieuses ou formatées ne puissent y croire !

Il arrive que souvent les gens top sérieux soient aussi de super grands aveugles et d'affreux ''mal entendants'' ! (citation de Flo!)

 

Bref, donc, 246 + 46 = 292, page effective du vrai centre, et le nom Foucilhe inaugure bien comme prévu la ligne n° 10 x 2 = 20 !!!

 

Je n'entre pas dans les détails lumineux du cryptage !

 

Le centre est situé quelque part sur le lieu-dit Foucilhe, un lieu-dit limitrophe de R.L.B.

 

 … et j'en ai déjà parlé de ce centre, le centre du cercle faux cromleck dit en Foucilhe, n'est autre qu'un point abstrait mais repérable GPS en main tout en haut du miroir rocheux de Nord Foucilhe en alignement avec la Rose Ligne tourelle de Serres (Foucilhe, en Occitan : la faucille dessinée sur sa carte précisément au bon endroit, la coupure, la section de la ligne (de la tige porteuse des roses), ainsi devraient on nommée la Rose Ligne du château de Serres !) dont je parlais, mais en vain, sans doute, comme d'habitude (car personne ou presque n'eut l'air d'en comprendre le sens, ou ne voulait  faire l'effort de comprendre ?), dans mon dernier article sur le christ d'Antugnac, c'est bien là où regarde, le Christ, n'en déplaise aux contestataires très gênés par cette vérité, car cela se démontre, et cette même orientation est confirmée exactement sur le mur Sud de l'église d’Antugnac qui se trouve très justement dans l'alignement du regard du christ)...au niveau du génial petit vitrail quasi invisible que nul ne semblait connaître … oh … maintenant que j'en ai parlé, on va en compter des gens qui soit disant le connaissaient !

 

Bref, foin des inconséquents et des poussiéreux … voyons autre chose.

 

Par ailleurs la seconde partie du message de 64 lettres, soit le second échiquier, se triangulature parfaitement par un triangle rectangle d'OR ordinaire de clef de la base 4, 5201 et de définition

Base = b

Hauteur = b (phi)  

Hypoténuse = b  x racine (phi² + 1), un triangle d'Or dit ''ordinaire'' tel que vous le voyez dessiné à droite de l' isocèle Sublime d'Or !!


8 Le triangle rectangle d'Or ordinaire


 

Résultat (arrondi) avec cette nouvelle clef : 23 / 27 / 14 = 64 (lettres)

Soit encore un découpage arithmétique et prêtant parfaitement à la réalité écrite :

 

LA CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU (23 lettres)

J’ACHÈVE CE DAEMON DE GARDIEN A MI (27 lettres)

DI POMMES BLEUES (14 lettres).



C'est parfait, la rupture de MI / DI est particulièrement bien saisie là précisément où il le faut entre le MI et le DI mettant ainsi l'accent sur la césure du jour de 24 heures comme suggérée sur le sablier du tableau !  

Tout est réglo et tourne rond comme une pendule !

 

''DI pommes Bleues'' étant la base, et c'est bien en cela aussi une perfection car l'angle droit du Triangle virtuel se retrouve calé entre les deux syllabes MI et DI ...

Ce n'est pas le dernier triangle d'or significatif du tableau comme nous le verrons ! Mais qui est bien là, en toute sa splendeur révélatrice avec sa base confondue avec le côté droit du triangle isocèle d'Or dit SUBLIME dessiné sur le tableau !

Et ce découpage est annoncé dés le départ par Poussin lui même et je vous en parlerai un jour avant de mourir ! … car Téniers le Jeune est le témoin discret de Poussin, son grand contemporain !

 

Remarque importante :

Sa hauteur et son hypoténuse viennent échouer sur les doigts du personnage aux ongles crochus cachant une des clefs nécessaires à accorder sa drôle de mandoline, donc trois clefs y sont apparentes ! Vaut mieux qu'il joue juste !

9 Téniers David le jeune tient les trois CLEFS

 

Ces trois clefs pourraient être celle des trois sortes de triangles d'Or présents sur le tableau … nous reste à découvrir le troisième … lequel va conforter la clef numérique du Poussin, comme nous le verrons !

Sans blague, qu 'en pensent nos exégètes para historiens et romanciers surfeurs sur les lames des romans d'aventures qui enthousiasmèrent notre belle jeunesse … et qui n'en sont toujours pas retombés ?

 

Passons.

 

Je vous montre maintenant ce que donne la triangulature d'OR isocèle sur cette seconde moitié (64 lettres) du texte : La croix et ce cheval de Dieu … pommes bleues.

Je rappelle la clef : 4, 236. …

 

Donc la formule comme nous l'avons vu, est b (la base) + b Phi + b Phi = P  (Périmètre) et le résultat en arrondissement minimum d'usage : 15 // 24, 5 et 24,5. soit :

 

LA  CROIX  ET  CE  CHEVAL  DE  DIEU  J’ACHÈVE  CE  DAEMON DE  GARDIEN  A  MIDI  POMMES  BLEUES.

 

(le A et le E sont partagés en 0, 5 et 0,5 unité… A et E se retrouvent donc sur le point charnière des deux angles de base de 72° du triangle dit Sublime !

 

La base du triangle Sublime vaut 15 unités lettres !

Remarque : En valeurs alpha A vaut 1 et E vaut 5, les deux chiffres de 15.

15 x 15 = 225 ! Encore une des très grandes pages arithmétique d'Or du Boudet ! … C'est bien sur cette page en analogie avec la page 17 où l'abbé nous expose en cryptages (très faciles) toutes les ficelles du nombre d'or en son vrai cercle mais faux cromleck ! Mais il faut plusieurs pages pour en dénouer toutes les ficelles ! Pas triste !

 

Bien !

10  Auto caricature sans concessions de Téniers le Jeune

 

Nous verrons que la tête de ce personnage drolatique et grotesque, un peu nabot (tradition carnavalesque flamande !), n'est que l'auto caricature sans concession (à son ego !) du peintre David Téniers le jeune soi même qui n'a pas peur de se moquer de lui même, un as de l'auto dérision tout en tenant les 3 clefs clefs des triangles en bon accord.

 

Et tout cela devant l’œuf et la poule, de la ''poule-œuf''.

Ce n'est pas une poule provenant de la basse cour d'Hautpoul, seigneurs qui préféraient la présence de coqs perchés sur leurs armoiries, des coqs comme marchant fièrement au pas dit de l'oie, vous l'aviez remarqué, pourtant des seigneurs appréciant certainement les chapons, de jeunes coqs castrés, en leurs assiettes ??? … passons.

11  Blason des Hautpoul, les coqs

 

Ce n'est pas la seule ''poule-œuf'' (entité pré surréaliste inspirée aussi de l'esprit d'un Jérôme Bosch), que Téniers aura peinte, tout le monde l'aura constaté, un thème répété en quelques Tentations de St Antoine de David Téniers le Jeune …

L’œuf, que l'on considère habituellement tel un virtuel poussin si toutefois la mère poule aurait bien connu le coq … ?! … puis faudrait-il que la poule prenne la peine de le couver … (!)

 

Oui, j'ai bien dit Poussin ...

 

En effet, qu'y a-t-il d'autre entre l’œuf et la poule ?

 

Ah, tiendrait on le bon bout, et sommes nous comme l’indique le tableau et de surcroît non loin d'un beau trésor d'or et de monnaies d'argent faisant bien des envieux, tel la caricature du vieux juif Anversois, sûrement un négociant  de ''cailloux'', cramponnant sa cassette comme Harpagon en lorgnant la pesée de l'or par la femme assise devant lui ?


12 la poule-œuf fiente sur le crâne squelettique du personnage au flambeau

 

Notre poule fiente sans gêne sur la tête squelettique du personnage au ''flambeau de lumière'' … C'est bien ce même flambeau qui était (aussi !) celui des allumeurs de bûcher (bûchers des hérétiques), jadis, selon les humeurs tyranniques des croisés inquisiteurs !

 

Et maintenant une Petite annonce de Flo qui s’ennuie fort (on le comprend) et tenant absolument à venir faire diversion :

 

« Téniers en Wallon signifie : les tanières des blaireaux … aucun rapport … certes !? … c'est tout de même à voir, étant donné l'imagination animalière du peintre et le fait incontestable que l'on fabriquait les meilleurs pinceaux avec justement les poils des blaireaux ? .. 

Un blaireau aurait du être furtivement suggéré quelque part en tout ce beau monde piaillant, fumant, grimaçant et passant  ! Celui qui le trouvera gagnera un ''rasoir à l'âme'' !

Qu'il m'écrive en joignant son adresse postale (!)

(signé Flo, ce vaut rien de petit plaisantin) ! »


13 un blaireau

 

Plus sérieusement, pour achever ce chapitre, combien mesure ce beau triangle rectangle d'Or dit ''ordinaire'', dont la pointe aiguë montre le haut de l'instrument (une mandoline?) avec ses trois clefs d'accords ?

 

Aux estimations les plus fines, il mesurerait 24, 4457 cm de base et 39, 5531426 cm de hauteur, enfin, de 46, 49826375 cm d’hypoténuse. Total = ~110, 50 cm !

 

Total des périmètres des deux triangles pour l'instant reconnus sur  tableau : 64 cm + 110, 5 cm = 174, 5 cm.

 

Retenons ce nombre !!!

 

Descripción: image010

 

 

DEUXIÈME  PARTIE

 

 

Mais voilà que comme j'annonçais, se dissimule un troisième cas de triangle rectangle géométrique d'Or et ma foi très utile et signifiant, mais pour le coup, pointé d'une manière tout à fait cocasse …


14 Le triangle géométrique d'Or du tableau des Tentations Capitales

 

C'est un T.G.O. (Triangle Géométrique d' OR, un triangle d'élite, un seigneur !) de la même famille que sur tableau de Bergère (pas de tentation), et ses moutons, avec l'ermite Antoine méditant devant une grotte. D'une certaine façon, avec lui, la boucle des triangles serait-elle bouclée ?

 

La clef arithmétique du TGO est b + b(racine carrée de Phi) + b(phi), soit donnant une clef arithmétique suivante :

 

soit b, la base = 1

 

1 + 1(racine carrée de Phi) + Phi = 3, 89

 

Soit encore : 1 + 1, 272 + 1, 618 = 3, 89

 

Ce triangle TGO en question est particulièrement passionnant car comme vous le constatez, il a été comiquement pointé par David le Jeune !

Je pense que le Bosco (Jheronimus Bosch) n'aurait pas méprisé cette idée assez ''fantaisiste'' de David le Jeune .

Les points d'angles ne sont plus ces oiseaux filants leurs traits d'or invisibles aux yeux des innocents, ni soulignant des clefs à mandolines accordant en sol majeurs grinçant, mais des figures humaines, quoique plus ou moins caricaturalement reproduites !!!

 

Ce sont bien trois figures (non animales ni monstrueuses), bel et bien des figures d’humanoïdes bien nourris et de races terriennes ! … et de surcroît reconnaissables, oui ! 

 

Elles sont identifiables

Sans blague ? Qui sont-ils ?

15 les trois points du triangle géométrique d'Or !

 

Le triangle TGO y est évident comme les trois nez, au milieu des figures des trois peintres de genre, trois collègues qui se côtoyaient laborieusement ou seulement affectueusement !

 

En haut, c'est une caricature du doux et semblant sans cesse souriant Bartholomeus Van Der HELST !


16 Caricature de Bartholomeus Van Der Helst

17 Autoportrait de Bartholomeus Van Der Helst 1667

 

A droite, David Téniers le Jeune, votre serviteur du jour, une auto caricature sans concession, loufoque et suffisamment cocasse ! … et un aimable clin d’œil à sont hilarant collègue  Le Bamboche !



18  Auto caricature de Téniers David le Jeune

19 Autoportrait de David Téniers le Jeune

 

A gauche, le plus évident à repérer et à nommer, David Téniers, dit le vieux ! … le père de David le jeune ... et quant à lui à peine caricaturé à part les moustaches rasées pour le portrait signé David le Jeune.


20 Caricature de David Téniers le Vieux par Téniers le Jeune

21 David Téniers le Vieux, l'autoportrait

22 David Téniers le vieux, gravure

23  Le triangle géométrique d'Or en son environnement

 

Pas compliqué, l’hypoténuse du TGO joint le nez de David Téniers dit l'Ancien à celui de David Téniers dit le Jeune ! … la souveraine lignée des talents passe aussi par les sens, dont naturellement par celui du bon nez (à sentir le vin, la fortune et la chance … et à flairer les ennemis et j'en passe) ! 

 

Maintenant analyse très partielle du TGO … ce que l'on peut dire d'évident sans danger de se trahir … ! Ce que révèle ce triangle est considérable si l'on a saisi le Poussin !

Hypoténuse = 20 cm (tout rond ! … La valeur très exacte de l'antique empan de la coudée royale de 52, 36 cm, 1 empan, c'est ce que mesurent les côtés des 64 carrés de l'échiquier blanc et noir de l’église de Saunière, voulus très exactement ainsi par le prêtre inspiré !)

 

Hypoténuse TGO  20 cm

Hauteur TGO  15, 72327 cm

Base TGO :  12, 3609 cm

Périmètre  TGO :  48, 08417 cm

Et … le plus important pour le moment est que nous avons les 20 cm (l'empan, la seule déclinaison d'or de la coudée royale exprimable par un nombre rond et multiple de 10 !) manquants pour faire :

 

64 + 110, 5 + 20 =  194,5 les fameux quatre chiffres clefs formant le nombre clef de notre ami Poussin !

 

Maintenant tenez vous bien !!!

 

194, 5 soient les chiffres 1 9 4 5, une des clefs essentielles que gardait (au chaud !) Poussin en ses Bergers, 194,5 unités mm sur le tableau des Bergers, et idem sur la carte au 1 / 25000 (vous avez bien lu !!!!!! …Idem ! je n'ai pas fait d'erreur de frappe !), un millimètre valant 25 mètres et un dixième de millimètre correspondant à 2, 50 mètres sur le terrain … dites donc, on a intérêt à viser juste ! … ou à avoir beaucoup de chance !

 

Mais reste à savoir pour vous d'où part cette ligne de 194, 5 mm sur tableau ou sur la carte IGN au 25 000ème (vous avez toujours bien lu, toujours pas de faute de frappe!), je ne vous dirais qu'elle est horizontale (un parallèle !) et qu'elle aboutit très exactement sur la méridienne imaginaire de la colline de d'En Couty vous avez encore bien lu, surprise ? … Ah, oui ! … mais pas pour moi ! Car cette affaire de tout premier ordre, je l'ai découverte depuis un quart de siècle ! Les (re) découvreurs n'y ont pas compris grand-chose, car ils n'ont rien saisi de l'arithmétique pointu ni à la sublime géométrie ultra précieuse et lumineuse du maître Poussin, et encore moins de la manière simpliste dont ont la retranscrit sur le terrain … et avec aucune (mal)-chance de pouvoir se tromper !  Bref ... Enfantin ! La meilleure des cachettes !

 

Sauf que, pas d’affolement, ce point de repère de d´'En Couty n'indique pas du tout l'endroit où se trouvait les entrées du fameux trésor perdu, pas plus que Sougraigne ni le territoire de sa commune ne sont porteurs de cette rude affaire, mais la colline de d' En Couty, devenue célèbre pour autre chose que vous savez n'est qu'un point de repère, non pas vulgaire, parce qu'indispensable, donc inévitable ! Déjà pas si mal, mais jusque là, très, très insuffisant pour aller plus loin sur une autre direction !

Désolé d'en décevoir quelques uns, le principal est bien ailleurs (mais pas trop loin !), quelque part dans la commune de Bugarach !

… et j'en connais qui faute de méconnaître les clefs du tableau d'Arcadie, se sont perdus corps et âme ! … C'est ça la vie !, aurait chanté le regretté Alain Féral !

 

Par contre, il nous reste deux mesures : 15,72327 + 12, 3609 = 28, 08

Ces deux nombres 194, 5 et 28, 08 (tous deux nombres en unités semblables … et qui servent aux correctifs des distances affinées depuis d'En Couty, à condition de piger le système)

 

Les trois correctifs de distances finalisés forment sur carte IGN un triangle de 194,5 mètres (77, 8 mm sur carte) de périmètre. Je ne rentre pas dans les détails !!! … encore la clef numérique en chiffres abstraits 1945 de Poussin (et maintenant, de Poussin et Téniers réunis !

 

Tout cela est rigoureusement exact et fabuleux … et qu'on ne me raconte pas que je copie certains ou que je joue au coucou. Il y à longtemps que je les ai dépassés !

Globalement mon analyse date (largement) de 20 ans, soit d'avant l'an 2000 !

 

Donc, je tiendrais probablement la clef, et l'ai-je méritée ? …

Ce n'est pas une question de mérite, mais une question de travail précis et rigoureux sur les vraies clefs en évitant toute dérive romanesque, rocambolesque et commerciale ! … de désintéressement.

 

Laissons cela, on ne changera jamais les gens, ni leurs croyances chevillées, ni leurs fanatismes ou furiosités …

Regardons encore un coup le tableau.

 

Voyons quelques remarques annexes que vous pourrez concrétiser à loisir avec vos logiciels lors des prochaine soirées d'hiver :

 

La ligne de perspective fuyante du haut du livre grand ouvert contre le roc autel d'Antoine est la direction de l'hypoténuse du TGO des 3 peintres.

 

Le bâton d'Antoine (le bâton de Téniers comme celui de Poussin portent tous deux des clefs numériques plus que symboliques mais accessibles par des chemins différents permettant en chemin, force découvertes et ici tout comme sur les Bergers, c'est un festival permanent !) il coupe exactement l'hypoténuse en deux parties égales.


24 Le livre ouvert, le bâton d'Antoine, les trois peintres

 

De surcroît le bâton est vertical par rapport à cette hypoténuse !

 

La base du triangle coupe la partie basse gauche du sablier d'Antoine indicateur de Midi sur le point doré de la ligne de base ! Un détail plus que parlant !

 

La hauteur du triangle TGO se prolonge sur la poule.

La poule-œuf  laisse présager comme nous le disions plus haut, un Poussin ... et fiente sur la tête d’âne squelettique du personnage au flambeau porteur de la capuche dite celtique à la manière d'Antoine, par simple dérision ? Plutôt une critique très cinglante de certains mystiques fanatiques chercheurs de la lumière et de la pureté tout en brûlant sans remords les hérétiques en employant le flambeau à allumer les bûchers que tient ce très ambigu personnage !

 

La base se prolonge en hauteur au travers du crucifix et va échouer sur les doigts de la personne (mais c'est un rat !) habillé d'une choppe à bière en terre et ansée, coiffé d'un entonnoir portant une bougie allumée !  

C'est (entre autre !) le fou porteur de lumière (trop fragile) et d'un coup de tête pouvant éteindre cette même lumière ! (Amusant !). Tiens ? … Jérôme Bosch aura peint un scène semblable, mais sans la chandelle !

 

Au niveau des doigts du rat part la longue branche de fagot montrant clairement le chiffre 4 bien figuré sur le poitrail de ''l'empoté''.

Nous reparlerons en fin de texte de ce 4.

Il existe. Je vous le montrerai en fin de chapitre.

 

Continuons.

 

L'hypoténuse se prolonge à gauche jusqu'à rejoindre la pointe du couteau brandi par la femme furibonde (la colère, l'ire) et en retour passe jusqu'à rejoindre les nez des caricatures de David Téniers l'ancien, David le Jeune, puis happe le regard du vieil avars, une carnavalesque caricature de juif cornu cramponnant sa cassette, un vieux marchand de cailloux à belle eau (diamants) d'Anvers attifé en Harpagon !

 

La base par le dessous et par le nez de David Téniers le jeune rejoint par le plateau de la balance de la femme contenant de l'Or et file vers le gisement de sacs d'or, d'argent et de pièces monnaies, le trésor en trois sacs cylindriques profonds mais débordants de richesses. Ah, ah ?.. comme trois avens emplis à craquer de matières précieuses !


25 Trois sacs comme trois avens emplis ….. ?

 

La hauteur du triangle indique la poule-œuf et se termine à l'inverse sur la patte droite du lion placés sur l'épaule de l'envie (hésitante) … (certains autres que je nommerai pas et qui donnent dans le roman, auraient cru bon de choisir l'autre sens du mot ''envie'' … à cause de la marque de la patte de lion sur la peau d'un certain personnage ?) … va-t-elle croquer ce nouveau fruit exotique provenant d'Andalousie, planté par des colons revenus des Indes d'Amérique centrale ?


26 La paysanne et la tomate (l'envie)

 

Comme ce fut le cas de la pomme de terre dont les braves Français se méfiaient, la tomate (ce n'est pas une pomme mais une très belle tomate rouge bien lobée, impossible de confondre !!!) fut suspectée par les paysans … cette femme n'est pas qu'une pauvresse, elle est idem une paysanne méfiante mais aussi affamée et donc envieuse de ce curieux fruit légume rutilant ! Elle craint moins la présence du lion que de dévorer ce fruit top nouveau!

La présence de la patte de lion n'est pas innocente puisqu'elle se retrouve régulièrement en notre affaire ! Témoins plusieurs articles personnels datant de quelques années et publiés !

 

 

Pour le nombre 1945, remarquons que 1 + 9 + 4 + 5 = 19  et que   19 + 45 = 64 le nombre de l'échiquier.

 

Remarque :

Dans l'anagramme, la lettre n° 19 est le I de TENTATION.

La lettre n° 45 est le R de CROIX.

Et + 19 lettre = E et + 45 lettres = S.

Nous obtenons IRES (ire au pluriel !, soit les colères ) , en 4 lettres = 9 + 18 + 5 + 19 = 51 et réduction 33.

Nouveau point d'achoppement du système de décryptage :

4 lettres … 51/33 x 4 = 6,18

Retour au nombre d' Or. (pour ceux qui ont suivi !)

 

Etc.Etc.Etc.

… nous n'en finirions plus !

 

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TROISIÈME  PARTIE

 

 

 

Mais voici deux autre raccourcis pour les littéraires poètes et philosophes !

 

Le Cheval de Dieu

 

La première citation est empruntée au professeur Gilbert Durand (structures anthropologiques de l'imaginaire).

 

G.Durand fut un très grand universitaire et disciple de l'incomparable philosophe Gaston Bachelard (G .Durand, un parmi les meilleurs penseurs scientifiques et philosophiques de son époque !)

 

Et ce qu'il nous dit des chevaux mythiques imaginés par les anciens me semble être très pertinent.

 

Je cite :

 

« Le cheval est relié aux grandes horloges naturelles et que toutes ces histoires de cheval solaire comme de coursiers chthoniens ont en commun « l’effroi devant la fuite du temps »

 

Sacrée image ! Bien vu !

 

Seconde citation avec un sublime (et grandiose) aphorisme du très subtil Platon : (qu'on ne présente plus !) :

 

« Le Temps est l'image mobile de l' éternité »

 

 Sans commentaire … nous somme snobés scotchés par l'antique Platon !

 

Je me permettrais alors de modestement conclure par une forcément maladroite synthèse perso, moi qui jamais ne fut formaté sous le rouleau compresseur universitaire, vais-je m'en sortir ? :

 

Si l'on en croit nos scientifiques et nos philosophes, l’éternité serait telle ''une part très spéciale du Temps'' (La part infinie, qui n'a jamais commencée et qui ne finira jamais !)donc la part exclusivement gérée par DIEU, et pour cause, nul ne pourrait le faire à sa place, pas même le diable ! … et (je cite encore) …

... si  le cheval est relié aux grandes horloges naturelles, et que toutes ces histoires de cheval solaire comme de coursiers chthoniens  n'auraient en commun que l’effroi devant le fuite du Temps » … selon Gilbert Durand, et enfin sachant que  :

 

Le Temps fuyant, serait par ailleurs « l'image mobile de l’Éternité » selon Platon, par conséquent et selon moi même (!) et quelques autres (?), la fameuse et énigmatique locution : ''le Cheval de Dieu'' pourrait alors suggérer chez le poète De Chérisey, béni par la culture classique et philosophique, cette bien belle ...

 

« image mobile de l’Éternité » … !

 

Et il coulerait idem de source que le TEMPS serait à la rigueur assimilable à ce coursier surnommé « LE CHEVAL DE DIEU » symbolisant à soi seul l'éternelle (mobilité et fuite) du TEMPS !?

cela du moins tant qu'il y aura des humains pour le constater et le calculer ou l'imaginer (post Einstein).

Mais ... pour l'instant nous n'en étions prosaïquement qu'à l'archaïque sablier d'Antoine ! ...quant à ce dernier, arrêté et bloqué à MI-DI !

 

Bref, achevons la synthèse si possible :

 

'' Seul l’Éternel, maître de l'éternité, est apte à chevaucher le temps'' !  

 

Cette idée qui vaut son pesant de cerises d'or, eut pu venir taquiner le poète Philippe de Chérisey (tutoyant Dieu), ce prénom signifiant : ''Qui aime les chevaux'' !

27 Odin chevauche son coursier … !

28  Les chevaux de la mer ...

 

Mais voila que le TEMPS serait (symboliquement) stoppé au milieu du jour et par la volonté d'un peintre, où cela ? … En son MIDI exactement ! … aurait chanté un autre poète extrêmement populaire et opportuniste, Serges Gainsbourg ! … Et en témoigne le fameux sablier d'Antoine nous montrant sa poudre constituée de deux niveaux égaux, un flottant au matin et l'autre chu au soir avec le débit du sable immobilisé , placé hors du temps.

Dés le début, chapitre n°1 je vous avertissais que ce tableau semblait vouloir échapper au temps, témoin ce clin d’œil prémonitoire d'ordre photographique de vouloir tuer le temps pour vouloir faire d'oiseaux en vol, des pointages définitifs de la géométrie d'or … très fort de la part du petit génie Téniers le Jeune et que nul avant moi, n'avait découvert (ou simplement signalé !)… seulement à ce que je sache, puisque si ces textes sont souvent ouverts sur le Net , sont-ils bien lus … et sont-ils compris ? Une autre paire de manches ! Nul ne me l'a dit …

 

Donc notre Cheval-temps de l’Éternel (Dieu)  aurait soi même stoppé net à MI-DI !

Logique !

29 Le sablier marquant MIDI

Voilà qui est grandiose, faramineux, fantastique, philosophique et poétique, ce qui aura échappé totalement à nos exégètes surfeurs sur romans, donnant plus dans l’écume du principe de la théorie du complot que du ‘’nu poète, nu philosophe ou nu scientifique’’ … c’est certain  …

 

Alors maintenant, sérieuses questions …

30 Les Lampos photo J.P. Garcia

A propos de chevaux célèbres porteurs de Dieu ou des Dieux , pistant la fuite du temps ou l’accompagnant en faisant course égale en tirant le chars pré solaire (de l’aurore) conduits par des divinités, bref, qui serait donc ce cheval LAMPOS, cité de manière incongrue par monsieur l’abbé Henri Boudet et qu’il essaierait de nous justifier avec une description tout autant absconse car volontairement hors sujet ? … mais toutefois décryptable ?

 

Le nom Lampos : signifie soit : éblouissant, ou soit midi, ou soit enfin, resplendissant. C’est le nom d’un cheval menant le char d’Aurore (divinité) et de l’aurore (nom commun) !

 

Lampos serait aussi, soit disant par monsieur l’abbé Boudet, un lieu précis au flan sud du mont Cardou très exactement placé sur la Rose Ligne dite de la’tourelle de Serres’’ (Méridienne antique et mythique : Position du soleil à MIDI solaire au solstice d’été c’est indiscutable 21 Juin !)

 

Lampos en ‘’la Vraie Langue Celtique’’ est un nom de lieu totalement inventé et imposé par l’abbé Henri Boudet et son frère Edmond Boudet pour cette seule circonstance, page 231 du ‘’Le Cromleck de Rennes les Bains’’ lignes 23 et 24 (23 + 24 = 47 … 47, nombre pas du tout innocent, ma foi ! … voir  Les Bergers d’Arcadie pour les très rares qui savent de quoi il retourne, ou bien lire ‘’l’île aux trente cercueils’’ ou pour commencer mon paragraphe immédiatement suivant ! ... et (ne perdons pas le fil), Lampos comme Phaéton cités par Homère sont deux chevaux tirant le char d’Aurore et d’Apollon. (Aurore présente au Lampos et  Apollon présent de manière incontestable, avec deux autres dieux Arcadiens et leur héros inséparable, Héraclès sur les Bergers d’Arcadie !) Le modèle de leurs faciès étant des clichés académiques déjà peints tel que par Poussin et ses collègues. Pourquoi le nier ? Je n’ai jamais compris cet aveuglement …   

 

Et si le cheval mythique Lampos, faisait pour deux (seulement) par an, acte de Cheval de Dieux en son voyage de l’Aurore à Midi puis au soir ? (quel jour de l’année ?… que voila la bonne question !?)

 

Hé bien, aux équinoxes, de Mars et Septembre, dans le sud de la France, le soleil (le char d’Aurore précédant celui du soleil conduit par Hélios (par exemple ?) se lève globalement plein Est et se couche idem globalement plein Ouest en suggérant sur le sol et la carte une ligne droite joignant ces deux points, le point de l’aurore au point du coucher du soleil. OK ?

Oui, mais à quel niveau placer la ligne (le parallèle), à quel degré de latitude ?

Quant au point de MIDI solaire, il sera justement et tout naturellement déterminé à l’heure de MIDI solaire du solstice d’été, sur la Rose Ligne, au point nommé par Boudet ‘’Lampos’’ !

 

Il est très instructif de repérer précisément sur le terrain du Razès les voyages du soleil depuis la Rose ligne point Lampos au solstice d’été comme aux deux équinoxes quand le temps le permet !


31 Arrivée du char d'Aurore sur Lampos JMV

32  Gérard de Lairesse, Aurore, Apollon … et Lampos !

 

 

Nota important : Un méchant détail m'avait posé question, car j'avais constaté que la méridienne Rose Ligne Château Serres était plutôt bien respectée sur la carte Boudet avec la position assez satisfaisante à l'échelle du 1 / 25 000 (Ah, mais si , c'est l'exception absolue sur cette carte réputée être sans échelle du tout, ce qui est encore une grosse erreur ! ..., la méridienne Rose Ligne est globalement calée sur la carte des frères Boudet, à échelle de l'I.G.N. moderne : 1 / 25 000 !!!!! (comme par ailleurs le 1 / 100 000 (seconde échelle de l'I.G.N.) est l'échelle de la Tour Magdala par rapport à la Jérusalem Céleste mesurée en coudées royales, chiffres reportés dans l'apocalypse (ce qu'ignore pratiquement tout le monde !) ...et même le perspicace A. Féral l'ignorait avant que je le lui apprenne, quant à Franck Marie, un truqueur sans scrupule aura menti à 90% ! … un pur délire … ce qui n’empêche qu'il est encore adulé par maints ignorants qui le présente encore comme une référence !!!! Manifestement il n'a rien mesuré du tout ! Estimé selon la circonstance qu'il fallait que cela cadre avec son ''roman'', nommé étude critique … !!! … !!! … cela est évident et se démontre facilement si l'on fait l'effort de contrôler toutes ses soit disant mesures, comme j'ai fait, histoire de vérifier !… Mais je remarque encore une fois que personne ne proteste ni ne mesure ... bref ... tout le monde se fiche de la vérité à R.L.C. on ne le répétera jamais assez ! On préfère les belles histoires ! A chacun son truc ! (Flo dixit et qui n'a pas toujours tord)

 

… Pour ce qui concerne le Roko Fourkado, signalé par deux points rouges mais nom légendés par l'abbé Boudet, il représente d'après le même, l'entrée Nord du Cromleck (Pourquoi une entrée Nord … ? … étrange pour un cromlech dont l'entrée est traditionnellement placée au soleil levant à l'Est !! … alors c'est bien que Boudet, qui ne l'ignorait pas, tenait à ce que nous considérions la méridienne Sud Nord du diamètre de son cercle cromleck telle la chose la plus importante … évidemment car il s'agit de la Rose ligne tourelle du château de Serres !!! ), puis Roko Fourkado, Bazel et Foucilho, sont trois signaux à peu près conformes en longitude et en latitude, mais ai-je constaté aussi que ces repères n'étaient plus satisfaisants lorsqu'on cible les Lampos dont la latitude est indiscutablement fausse sur la carte des frères Boudet ! Exprès ? Possible … ?

 

Lampos, en effet est bien situé par Boudet sur sa bonne longitude mais pas du tout retranscrit à la bonne latitude sur carte Edmond Boudet qui l'aura poussé beaucoup trop au Nord !

 

Important :

 

Bref, en attendant, au niveau du Lampos, sur carte IGN où le roc majeur est parfaitement repérable par son point d'altitude de 523 m, faute d'être nommé, et pour cause … (ce groupe de rocher n'a jamais eu le moindre nom !), il suffit de tracer une ligne horizontale (un parallèle) théoriquement suivi par le soleil d’équinoxe au sud de la France, une droite allant du point du soleil levant au point du soleil couchant aux équinoxes de Mars ou Septembre, puis de suivre la bissectrice (45°) de l'angle droit formé par cette droite et la méridienne Rose Ligne Château de Serres, bissectrice pointant au Sud-Est exactement, pour aller croiser le point de l'entrée du trésor existant (ou aujourd'hui sans doute inexistant, car déjà volé et grillé depuis belle lurette) ?! Étonnant ?

 

Et cela découvert par moi récemment et bien après avoir découvert les entrées probables !

 

Une remarque, et pas des moindres, cette ligne du parallèle fictif, allant de l'Est, soleil levant à l'Ouest, soleil couchant, passe globalement au niveau Espéraza, et elle montre de l'autre côté exactement la Berco Petito à l'Est en un point très sensible et ''chaud'', tout à fait particulier et vous savez pourquoi, j'espère ? Hasard ?

Je ne pense pas !

 

CQFD ?

 

Bien sur que non, cela ne suffit pas pour désigner sûrement le point des entrées du trésor hypothétique, ne vous manque que la coordonnée Nord Sud avec sa longitude ! Permettez que je la garde pour moi … ou que pour quelques rares happy few !

Pour situer le point très exactement il faut avoir assimilé des entités géométriques de très haute précision que seul Poussin, à ma connaissance nous enseigne et que David Téniers le Jeune se doit de nous confirmer avec la finesse du Grand Arpenteur, ou du Grand Architecte, c'est à dire, absolument sûres.

Je vous en ai fourni quelques chiffres exacts sans vous informer des bornes limites calant les chiffres … normal, c'est à vous à les découvrir.

Ce que j'ai découvert est accessible à d'autres. Il ne m'a fallu que 20 années de travail acharné pour les découvrir alors commencez par estimer votre espérance de vie ! (dixit Flo, ce jeune chenapan !!)

 

D'un raccourci, l'autre !

 

Des clefs essentielles sont souvent occultées en un titre ou en une strophe chansonnette … en des endroits les plus dérisoires ou apparemment insignifiants ! Ce sont les cachettes les plus sûres.

                                                                                      

Exemple :  L’île aux trente cercueils

 

''Dans l'île de Sareck en l'an quatorze et trois''

 

Pourquoi quatorze et trois ? Vous avez tous compris !

Parce que trois et quatorze font non seulement 17 (qui est déjà un indice marqué sur le petit menhir dont fait allusion Leblanc au chapitre n°1 mais aussi parce que lu à l'envers (méthode Boudet) cela nous donne ''trois et quatorze'' c'est à dire :

 

3 et 14 (3, 14) la version scolaire et simplifiée de Pi qui est la clef de tous les cercles. (Indice simple, rationnel et importantissime !)

 

Autre super indice en la première strophe que voila :

 

Dans l'île de Sareck, en l'an quatorze et trois

Il y aura naufrages, deuils et crimes,

Flèches, poison, gémissements, effrois,

Chambres de morts, quatre femmes en croix,

Pour les trente cercueils trente  victimes.

 

En les deux premiers vers nous avons un total de 17 mots.

Et en les trois autres vers idem un total de 17 mots. Donc 34 mots.

 

Au bout du deuxième vers : rime, crime

Au bout du cinquième vers : rime, victime

 

En cette pourtant bien puérile prophétie qui en fait sourire plus d'un, tout semblerait cependant pensé, cadré, pesé, point de place pour le hasard ni pour la légèreté !?

 

La première grosse surprise est cryptée est bouclée en le mot : CERCUEILS.

 

Nous la connaissions sans le savoir ! … c'est  le nombre 30 écrit deux fois en clair et une troisième occultée en ''cercueils'' (cryptée … ensevelie ou bien logée … )

 

CERCUEILS contient CERCLES et nous reste  U et I.

U = 21 et I = 9 total = 30 !

30 cercles ? Faut-il trouver 30 cercles … ou 30 x 3 = 90 cercles, ou encore 30 x 30 x 30 = 27 000 cercles ?

 

Non ! Insensé !

 

Nous avons plutôt trois indices capitaux : Pi  //   30   // cercles

 

3, 14 (Pi) x 30 = 94, 2 (diamètre ou périmètre ?)

 

Que représente 94, 2 ? Hé bien, on y est : deux fois  47, 1 = 94, 2

Et qu'est 47, 1 ? (vérité absolue : 47, 069 cm) … Boudet nous a bien crypté le 47 !

47, 069 est en unité cm ~ le diamètre exprimé en son arrondi minimum du cercle dit de Poussin, celui suggéré autour du bâton ! … à échelle du tableau comme à l'échelle de la carte IGN au 1 / 25000 (vous avez encore bien lu).

 

Le cercle vaut exactement 147, 069 cm de périmètre très exactement comme la diagonales du tableau des Bergers est aussi la toute première clef que tenait poussin = 47, 069  x Pi = 147, 8715 cm.

Pour les Bergers d'Arcadie, les clefs numérique de base sont les mesures officielles du tableau encadré au Louvre, et non ses vraies mesures. Cela au moins est incontestable et clair.

33 Le tableau des Bergers d’Arcadie encadré au Louvre

 

Théorème de Pythagore :

Mesure officielles du rectangle apparent 121² + 85² = 21 866

Racine carré de 21 866 = 147, 87, la diagonale !

147, 87 est la valeur absolument juste du périmètre du cercle formé par le diamètre bâton du berger rouge.

Longueur du bâton =  147, 8715659 / Pi = 47, 069

C Q F D

 

Et ~94, 2 cm valant ~deux fois la valeur de l’aiguillon du bouvier rouge, est aussi en cm une des longueurs utiles de la Rose Ligne traversant le Grand Razès, Méridienne tourelle château de Serres, sur la carte IGN au 1/100000. OK ? (pas fait non plus de fautes de frappes !)

 

(En toute sincérité, je ne pense pas que le secret en question ne soit que l’info de la position d’un trésor évaporé …)

 

Quant à la chambre de morts, elle se retrouve parfaitement sur le terrain au départ Sud extrême et absolu des deux roses lignes méridiennes parallèles suivant le bâton du Bouvier rouge, l’Aiguillon creux qui n’est que le masculin trivial de l’Aiguille Creuse et donc à MIDI (nous ne sortons jamais de Midi soit en les Bergers d’Arcadie, soit de même en les grandes Tentations de Téniers que nous analysons, comme idem sur le terrain !), entre les deux lignes (espace ne représentant qu’une centaine de mètres environ … ~ 4mm seulement sur IGN 1/25000 car tout se joue sur l’exactitude absolue, d’où une des grosses  difficultés pour la recherche !), en quelques mots, prière de lire ‘’entre les lignes’’, expression pour une fois à prendre très au sérieux et au premier degré et chercher à lire une appellation géographique facilement repérable et absolument synonyme à l’expression ‘’Chambre de morts’’, imparable ! À vous de jouer ! … et lieu contenant aussi ‘’le petit menhir’’ (je cite Leblanc) portant le nombre 17 et à son inverse, l´inscription avec le fameux 4 (IN 4)… et la croix avec un homme (ou bien une femmes crucifiée ?) comme sur mes photos jointes (sympa, … déjà trop sympa je suis !).Tout cela + ce que je ne vous montrerai pas aujourd’hui, a été photographié en pleine terre, mais en un décor ressemblant à une île sauvage en forme de pyramide jetée en pleine montagne, rocheuse et venteuse, saisissante, inhospitalière et dangereuse en diable !


34 Cheval fantasmagorique et son gardien JMV

35 Le 17 et la patte de Lion JMV

36 Personnage crucifié et le 4 (1) JMV

37 Personnage crucifié et le 4 (2) JMV

38 La pyramide ! Le 17, patte de lion, l'aigle, départ des deux Roses Lignes JMV

  
Agrandissement du 17 gravé en haut de la roche JMV

 

 

Mais à partir d'ici on ne surf plus sur les romans populaires en refaisant l'Histoire et sans mettre le nez dehors. La réalité vous étreint et vous guide. Selon les éclairages saisonniers et les heures, les spectacles évoluent et les programmes aussi ! Je vous recommande particulièrement les levers de soleil des équinoxes et du solstice ! Un régal !

 

Mais si les entrées recherchées ne sont pas encore ici, ces derniers indices sont  irremplaçables !


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Nous nous arrêterons là si vous le permettez.

 

Le décryptage du texte de l'anagramme ''Bergère pas de tentation'' n'est pas du tout achevé, bien entendu.

 

Mais ce qui reste à dire est beaucoup trop sensible.

Je me répète, dans l'état actuel des choses où la recherche est en état de crise car confisquée ou bloquée par des individus violemment vindicatifs comme nous avons pu lourdement le constater pendant plus de deux ou trois mois, et la situation s'étant aggravée par une non réactivité des lecteurs fatigués et dégoûtés à cause de la crainte engendrée par des attitudes insultantes que nous avons essuyées et qui auront assommé les victimes (ce qui était précisément le but recherché!), ne m'incitent pas à m'étendre ni de me découvrir plus.

Je vous ai dit le maximum envisageable en de telles difficiles conditions. Déjà un très bel effort.

 

Ce que vous ferrez de ce que je vous ai transmis ne regardera que vous !

 

Merci aux patients lecteurs et à Adela l’accueillante chercheuse, la bonne hôtesse toujours de bonne humeur, si agréable et si réactive ! … et aux quelques rares vrais amis qui m'ont soutenu !

 

Fin !                                                                                                                                                                        Jean-Marie Villette


39 Téniers père et fils en campagne …gravure ... iront-ils jusqu'à Versailles ? (voir début du chapitre premier)



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