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         Chapitre TROIS, et
  en lequel pour la seconde fois, voici venir en force nos oiseaux porteurs et pointeurs des triangles d'or !    Aujourd'hui,
  découverte de l’exceptionnel triangles
  isocèle d´or dessiné par Téniers David dit le Jeune, nommé le Triangle
  « SUBLIME » par les seuls «  initiés ».    Monsieur Rossignol note au
  tout début de sa dense étude une surprenante réaction du roi Louis XIV,
  lequel protesta sèchement contre une invasion pacifique, celle de
  l'espace Versaillais par les toiles des Téniers qui inondaient (soit
  disant ?) Versailles avec leur style pictural que l'on
  nommera, faute de mieux, des ''peintures de genres'', et plus
  particulièrement, le roi se piquera d'un coup de sang (royal) contre notre
  bon David Téniers dit le Jeune !   « Le roi, en
  effet, prit en détestation David
  Téniers le jeune, dont la
  prolixité et le succès précoce le rendaient omniprésent et incontournable sur
  le marché :    « Qu'on enlève tout
  ces magots*, s'écriait-il en apercevant à Versailles quelques bambochards**
  de Téniers ! »   Mais 
  J.C. Rossignol ne donna pas la signification de ces deux pittoresques
  mais royales invectives : magots et bambochards !    * magots (synonyme péjoratifs de scénettes
  satiriques ou drolatiques avec parfois des représentations d'animaux
  costumés, des ''singeries'' mises à la mode notamment par Abraham
  Téniers, le spécialiste de la famille, (David le jeune n'aura peint que
  quelques singeries, fallait bien vivre !).    
   
   
   2)  Peintre Pieter Van Laer,
  Bamboche,autoportrait 
   Mais sans foncer tête baissée en une
  nouvelle théorie du complot, est ce vraiment tout ce que le roi Louis le
  Versaillais, eut à reprocher à David Téniers le jeune, qu'un relatif mauvais goût de son envahissante peinture agaçant ses grands rivaux et de plus est,
  créant une sévère guéguerre commerciale au sein même du lobbying de la
  peinture d'art du dix-septième siècle ?    Bonne ou mauvaise question (?), je ne
  saurais y répondre en confiance, quoique je pense qu'en toute probabilité
  notre petit génie de David le Jeune pouvait avoir été porteur (avec ses
  alliés de l'Empire Germanique ?), d'un secret bien trop lourd à garder ... et
  peut-être gênant pour le roi Versaillais régnant sans partage sous un
  doux soleil d'île de France ?! Beaucoup y pensèrent mais point encore à notre
  connaissance, d'arguments immédiatement convaincants !   Alors l'aurait-il caché, cet hypothétique secret, en sa
  peinture, cryptée
  ou codée,(les nuances inhérentes
  aux trois mots cités sont bien réelles et respectables  …
  ne confondons pas les sens des mots, me dit mon inflexible Flo !)   Cette œuvre supposée un peu
  tardive peinte soit disant en 1670 selon J.C. Rossignol (sans
  citer sa source) ou bien en 1681
  (onze ans d'écart !) pour un très aventureux exégète contemporain, sans lui
  non plus nous citer une source sérieuse, contient plus d'un mystère non élucidé. 
   3) Capture commentaires sur chercheur 1681 et église     Il est clair que le choix de la date 1681
  n'est pas innocent de la part de notre exégète, car on y retrouve dans le
  désordre les chiffres du nombre d'or (1,618) dont le mystérieux n° 1618
  écrit en bas à gauche du tableau d'aujourd'hui, puis le fameux tiercé 681 (voir
  mon analyse chapitre
  1)
  de l'expression PAX 681 du texte décodé de la stèle de la Marquise de
  Blanchefort : Bergère pas de tentation … etc … etc … , OK, on appréciera
  comme on voudra la récupération opportune de toutes ces analogiques
  coïncidences numériques en un certain joli roman en gestation, encore une
  nouvelle Belle Histoire pour les amateurs, facile à lire et séduisante, ça se
  vendra ! Pourquoi pas ? Elle fut annoncée comme une improbable
  histoire, c'est à dire une pure fiction. Saluons au passage la surprenante
  mais valeureuse franchise de l'auteur !    Sauf que pour le codage de 681 et du
  texte en général de 128 lettres que nous avons abordé au chapitre 1,
  il vaut mieux être sérieux car le code ne peut fonctionner que sur les
  lettres de l'alphabet romain, il est donc indispensable d'écrire le nombre en lettres majuscules, tel
  que sur l'original, en chiffres romains  : 681 = DCLXXXI. Ce
  que cela change ? Pour la valeur numérique 681 ? ... rien,
  certes, mais pour le restant du décodage tout va se casser la figure … car le
  total alpha de DCLXXXI = 100 et que ce cent révélé est de surcroît
  indispensable pour la suite des opérations ! Mais cela est peut être un
  peu trop fort pour certains ? Dommage pour eux ! Quant aux tableaux concernés par le code,
  c'est un triptyque.  Il y a les Bergers de Poussin en
  tout premier et qui est la carte, en second ''Ermite méditant
  devant le grotte'', l'absolue
  non tentation et enfin le troisième le Téniers
  dit du Prado qui est la super tentation, là où nous sommes, et qui boucle le cryptage en le renvoyant
  directement sur les Bergers avec les derniers chiffres d'une très
  haute précision afin de s'y retrouver sur le terrain au quart de cheveu près
  !  
 Le musée du Prado demeure prudemment
  réservé à ce propos et ne prête aucune date même hypothétique ! Donc les
  deux dates proposées demeureraient sujettes à caution en ce qui concerne ce
  tableau.   C'est un remarquable petit tableau,
  influencé par Jérôme Bosch et me semblant pourtant vouloir s’échapper
  de toute ses forces ''hors du temps''.  Je vais donc commencer à vous le
  décrire honnêtement tel que je le vois et à un tant soit peu analyser sur
  deux chapitres quelques uns de ses vecteurs à mon humble avis, transcendants.
     Il nous faudra
  parler de la stupéfiante objectivité géométrique contenue dans le tableau et
  qui aurait à mes yeux une importance capitale. 
   4)  Téniers Prado le tableau   Hé bien, une
  nouvelle génération d'exégètes s'était accaparé ce tableau il y a quelques années.  On les comprend,
  car cette œuvre obsédante pourrait bien être, il me semble, le tableau de David Téniers le Jeune, le plus fou, le plus
  libre, le plus coloré et encore certainement le plus profondément crypté … et peut-être
  ce cryptage serait-il unique en son genre et l'on remarque que pour une si
  modeste surface de tableau (0, 55 m x 0,
  69 m = 0, 3795 m²), David le Jeune y aura placé un nombre surprenant de
  signes et de figures géométriques d'or majeures bien au dessus des habitudes des autres petits maîtres, et de plus est, d'une manière particulièrement ordonnée,
  originale, intrigante, en forçant notre admiration !  
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   Nos exégètes l'adorèrent, puis
  l'auront jalousement couvé … (en vain!) Hélas, de cette coquille
  pourtant bien pleine (comme « l’œuf- poule* » un des thème rémanent en les Tentation de Téniers, point n'en
  sortit cependant le poussin espéré avec sa soit disant bergère, ni
  d'arguments suffisamment convaincants pour mon faible entendement !   Ils eurent
  cependant jadis une excellente initiative, celle d'envoyer aux internautes
  l'image lourdement pixelisée sortie des labos photo du Prado et cela
  fièrement comme si c'eut été leur œuvre personnelle qu'ils nous offraient de
  bon cœur, … et en attendant, mille merci encore à eux … nous avons bien reçu
  leur obole … et on s'était dit, comme ça, que sans doute ils
  comptaient sur nous pour y travailler en commun afin d'échanger des
  idées et des observations passionnantes ? Tu parles ! … En réalité ils
  n'espéraient que glaner des soumissions aux extrapolations de douteux
  ''ré-inventeurs'' de ce tableaux !   Ce nouveau
  cryptage que nous allons découvrir est à mon avis un authentique et
  scientifique travail de spécialiste. Et nous avions déjà apprécié l'art
  et la manière de David Téniers le Jeune lors de l'analyse du précédent
  tableau où l'on observe Antoine seul demeurant en paix absolue et méditant à
  l'entrée de la grotte-fenêtre
  donnant sur la vision
  lointaine de cette fameuse bergère et ses quelques brebis, une bergère
  longtemps recherchée ! 
   5) La distante bergère   Hé bien, elle
  était devant notre nez, messeigneurs, peu visible mais fort concrète et sa
  présence est confirmée par la géométrie puis par la bissectrice de
  l'angle droit du Triangle Géométrique d'Or(Une géométrie curieusement analogue quant aux points de repères avec
  celle de ce second tableau : les mêmes oiseaux mais pas avec le
  même triangle d'Or!)  Même combat donc
  pour celui ci … ? ... car nous passons du plus précieux triangle d'Or rectangle (le TGO) au plus noble triangle isocèle
  d'Or, le Sublime ! David Téniers
  avait de la suite en ses quelques géniales idées et du souffle à revendre. 
   6) Triangle TGO sur Antoine et la Bergère, le document définitif. 
 Un intéressant
  tour de passe passe, car on dirait qu'il s'est préalablement gonflé l'abdomen
  de fumée en tirant sur sa pipe (maintenant froide et qu'il a replacée sur son
  côté) et que le voila restituant peu à peu sa fumée par la bouche pour épater
  l'ermite, ou bien afin de lui signifier en code Indien quelques messages
  concernant soit sa tentation prochaine, ou quelque chose d'autre  de plus ou moins grave ? ...  
   7) Crapaud fumeur pinçant le vêtement d'Antoine 
 Il avalera toute la fumée en crapotant et
  fatalement éclatera dans la boue ! Alors tenez vos distances, ne risquez
  pas d'être éclaboussés par les entrailles du petit diable, cela vous
  porterait malheur !  Étonnante croyance, bien ancrée, car
  lorsque je demandais à mes  camarades
  s'ils avaient déjà vu fumer la pipe par un (gros) crapaud, tous me répondait
  que oui, bien entendu, plusieurs fois même et que si je ne les croyais pas,
  il me fallait venir le jeudi prochain à la ferme pour faire fumer avec eux le
  crapaud et voir éclater la pauvre bête ! … (étrange programme) J'y allais, pensez donc, plutôt en courant,
  mais jamais nous arrivâmes à ce que notre paisible batracien (les crapauds de
  nombreuses espèces ne manquaient pas encore en cette heureuse époque !)
  acceptât la pipe allumée tenue par le papa fermier qui nous affichait une
  mine désappointée devant le refus poli de la bête.  La prochaine fois il fumera, je vous
  l'assure ! … concluait-il avec aplomb et nous
  affichant une conviction sans faille apparente.  Nous revenions donc le jeudi d'après, mais
  couac et encore couac, le bide ... Franchement pas un tabac (du Flo!)  …
  et encore, et encore, les Jeudi suivants ! Et cette pittoresque croyance perdura
  quelque temps encore, tant qu'il y eut des crapauds logeant dans les cours de
  fermes et des jeudis pour rêver debout entre gamins de tous âges !  Je présume que dans les Flandres et
  certainement ailleurs, cette croyance exista aussi, puisque nous retrouvons
  le crapaud démoniaque en une autre célèbre Tentation d'Antoine sur le
  triptyque de Lisbonne, signée du très grand et prolixe Jérôme Bosch sur
  lequel la dépouille du saint ermite Antoine est couchée à même le ventre du
  crapaud planant entre deux airs et qui serait, selon certains, le diable
  soi même venu troubler ou compromettre la montée au cieux de l'ermite Antoine !  
 
 8) Jérôme Bosch, l'ascension d'Antoine avec le crapaud Lisbonne 
 9) Jérôme Bosch l'ascension d'Antoine sur le crapaud, détail Lisbonne   L'influence de Jérôme Bosch sur David Téniers le jeune fut tellement évidente et particulièrement
  lisible sur ce tableau surnommé (de manière un
  petit peu rapide, c'est le moins qu'on puisse dire) par nos bien trop
  chers, approximatifs et souvent trop légers
  exégètes pour un titre aussi lourd    Tous aux
  abris ! (comme me lance Flo!), car à propos de ce malheureux tableau, si
  nous critiquons à raison ou non certains auteurs, nous risquons des mots plus
  que déplacés à notre endroit, dans le but espéré mais toujours déçu de
  nous mettre à l'envers ! (je vois Flo mort de rire et l'entend déjà plié en
  deux, pouffer en son coin !)   Car nous étions quelques un à connaître ce
  tableau par le canal ''Beaux Arts de Toulouse''.   Mais à partir de sa soit disant
  redécouverte à Madrid par un des aficionados de Rennes le château, il
  devint ce qu'il n'aurait jamais dû devenir de la part de chercheurs se
  respectant, un objet de spéculations très romanesque (jusque là rien de
  méchant !), mais aussi, et surtout, hélas, de propagande et de pouvoir
  exclusif ! … Mais si ! … je n'exagère pas, et cela continue !    Il n’empêche que tous les suiveurs,
  soit disant amis se rangèrent (comme d'habitude), spontanément à la vérité auto proclamée et tous firent
  allégeance à la nouvelle religion exhumée depuis les nouvelles
  analyses critiquables, pseudo historiques et non fondées de ce tableau qui
  pourtant ne demandait qu'à fuir le temps
  historique, car c'est bien son esprit comme nous le verrons !   Certains réadapteront en catastrophe
  leurs commentaires sur leurs sites afin de complaire aux exégètes orageux et
  tonitruants ! Flippe, flippe …alignement obligatoire ! Qu'aucune parole
  ni opinion ne dépasse ! … si non, on vous tire les oreilles, botte les
  fesses ou on vous passe à la moulinette verbeuse ! La vérité, c'est
  nous, nous clamaient les nouveaux découvreurs !  Et toutes invectives exprimées sans
  l'ombre d'humour ni d'auto critique, comme vous le pensez bien !    Alors que serait donc que ce drôle de
  tableau, puisque soit disant l'idée d'une ''non classique Tentation
  d'Antoine ermite'', était à la limite jouable'' comme me
  confirme Flo, mon petit neveu, pour 
  certains hésitants aficionados ?   Seulement, voila … notre question sous
  entendait : « Et alors, messieurs dames, peut-être bien que ce
  tableau n'est pas une Tentation, mais comment allez vous nous le
  prouver ? Hein ? A vous de jouer, nous demeurons ouverts et à
  l'écoute ! »   Vaine attente, ils affirmèrent
  cependant qu'elle était trop différente des autres, ce que nous savions
  déjà ! …    Mais voici que plusieurs bourdes de leur part nous mirent la (les?)
  puce(s) à (aux) oreille(s).    Selon certains
  nouveaux exégètes, les coupables de cette soit disant horrible méprise que
  d'aller prendre ce tableau pour une vraie tentation, seraient bien
  à Madrid et plus exactement, au musée du Prado, et que ce serait la
  faute d'une bureaucratie ignorante, comme d'habitude et qui aura dû se
  tromper de désignations (sic) et l'auraient classée par inadvertance
  (ou par paresse, allez savoir?), dans la longue liste
  des Tentations de Téniers le jeune ! 
   10) La soit disant grande erreur du Prado !   « Attention ! C'est une
  accusation fallacieuse, sans doute de quoi déclencher un sévère incident
  diplomatique !? » (Juste réflexion de Flo, qui pouffe encore … et j'en connais d'autres !) Le micmac naissait
  donc sans même prendre garde que ce titre de ''Les sept péchés capitaux'' existait déjà (lourdement) au Prado, et excusez du peu, c'est comme vous le savez
  sans doute, le titre d'un des chef d’œuvres de l'incontournable Jheronimus Bosch (dont on ne voulait surtout pas nous parler
  non plus), de ce gêneur … avec ses fameux ''Sept péchés Capitaux !!'' … mais quant à lui, Jérôme, toujours appendu
  aux meilleures cimaises du Prado avec une composition qui aura profondément
  impressionné et influencé Téniers David le Jeune pour la création de ce
  tableau proposé aujourd'hui, ce qu'ils oubliaient soigneusement de préciser,
  à nous les médiocres, incapables, n'est ce pas, de s'informer, ni même de
  réfléchir, sans parler de penser !  C'est pourtant là,
  le motif et le cœur de mon analyse.   Je pense au demeurant peu probable
  que David le Jeune (1610 // 1690) ait eu la ''tentation'' de nommer
  son tableau en paraphrasant un titre majeur du grand maître Flamand,
  l'indépassable J. Bosch.    Et en attendant,
  David Teniers ne le titrera jamais, son fameux tableau !    Il gardera bonne distance avec le
  souvenir de Bosch (1450 // 1516), le plus grand, le
  plus fou, le plus génial et bordélique des créateurs visionnaires !
  L'inclassable génie et enfin le peintre le plus énigmatiquement
  crypté du siècle !!! Donc le plus délicat à pénétrer, car il savait comme
  tous les surdoués improviser des séries de chef d’œuvres dépassant nos
  visions de rampants aux sombres desseins ou de taupes dévoreuses de vers
  blancs non rimés ! (Commentaires de Flo)   
   11) Téniers le Jeune, la Colère au couteau, Madrid le Prado 12) Jérôme Bosch, la Colère au couteau, Madrid le Prado   Ci dessus le premier exemple de l’influence
  directe de Jérôme Bosch sur Téniers le Jeune et concernant ce tableau ! La colère brandissant sa lame ! (comme par hasard !).    Décidément ce Jérôme Bosch semblerait bien
  être insupportable à nos guides bien aimés en introspections, autant que
  David Téniers le jeune semblait idem sérieusement énerver Louis XIV le
  Versaillais  ! Bigre ! Que signifie ces furibondes guéguerres
  (anti Téniers le Jeune par Louis XIV et puis par de petits Français, anti
  Bosch), me demande Flo, sans même sourire ? ….   Par ailleurs, la
  raison de ce nouvel ordre Collinesque n'était pas difficile à comprendre et
  vous l'avez tous saisie si vous avez suivi l'affaire, puisqu'à force de s'emmêler
  les pinceaux, ils finirent par signer malgré eux leurs entourloupettes
  d'illusionnistes.    C'est qu'il
  fallait impérativement que ce tableau fut d'entrée considéré par le lecteur lambda, voire
  inculte (ou seulement naïf ou distrait et encore, je-m’en-foutiste ?) tel
  que le document indispensable introduisant la fameuse formule du
  poète De Chérisey :    ''Bergère, pas de Tentation !!!''     | 
 
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   OK ? …
  locution qu'ils n'avaient pas compris et qu'ils n'ont toujours pas pigée, ce
  que je présume à les lire encore aujourd'hui !)… voila donc, et
  puis ils passeront vite à autre chose et firent diversion !  Laissons les
  courir !   Comme nous allons le constater, documents
  d'origine contrôlée à l'appui, à Madrid au musée du Prado, un des plus prestigieux
  et compétant d'Europe (et du monde), ce tableau est bel et bien
  répertorié sous le titre
  générique de :   “TentacioneS de San Antonio
  Abad”
  
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   C'est la vicieuse et
  infinie série des causalités
  bipolaires ! (d'après Flo qui
  a fait des études, le bougre !)   Grave ! (dixit Flo!)   Et ce tableau ci, je ne le verrais
  pas comme une singulière Tentation à sept branches, mais comme ''Les sept programmes autonomes mais contenant
  chacun d’innombrables Tentations'' ! (bien au pluriel !)   En résumé : 7
  programmes de tentations différents et prêts à assumer leurs ravages par
  des péchés multipliés de manière exponentielle dés leur arrivée en scène.   Mais, à ces
  allégoriques bombes, nous devons instamment ajouter un autre programme d'une redoutable tentation que nul encore
  à part De Chérisey n'aura signalé, celui ciblant personnellement l'ermite Antoine .   Cela nous ferait
  donc 8 programmations possibles avec celle spécialement réservée au
  bon Antoine et qui nous fut révélée par le texte très imagé (et fantaisiste?)
  de Philippe de Chérisey, soi même grand admirateur de Jérôme
  Bosch comme de ce tableau de David Téniers le Jeune ! … Relisez
  le tranquillement (premier chapitre) ...   Un Philippe de
  Chérisey qui nous embête avec son ''daemon de gardien'' qu'il faudrait ''achever'' à MIDI, à double sens* … (voir renvoie en toute fin de ce chapitre)  Mais ce cas le fameux démon de Midi,
  quoi … ?... et tout le monde qui l'a vécu, sait que ce n'est pas une
  si petite affaire … surtout pour un sérieux candidat à la
  sainteté tel qu'Antoine ! C'est clairement ce que nous annonçait Phil. De
  Chérisey, cette dualité du ''Démon Daemon'' ! 
     Il semblerait au
  contraire que ce serait une très lourde épreuve pour notre ermite préféré !   Et ainsi arrivons
  nous, tout doucement avec cette dernière épreuve et à la plus terrible
  tentation échue à un Antoine abbé, toujours particulièrement
  gâté (accablé !) par les
  cyniques fantaisies
  des peintres avec la complicité des voyants mystiques hallucinés ou
  visionnaires, et des fantaisistes, faut bien le reconnaître !    La tyrannie du
  désir sexuel devenue obsédant à
  l'entre deux âges des mâles … puisqu'il faut bien nommer ce mal des
  hommes arrivés en la force de l'âge !   Le fameux démon de midi, singulièrement annoncé par Philippe De Chérisey !    Rien de monstrueux
  car c'est le tempérament qui s'exprime et notre ermite préféré saura
  certainement le vaincre !   Mais on est prêts
  à tout pardonner, car ce second tableau devrait contenir l'essentiel des
  clefs que gardaient Téniers dit le Jeune (avec Poussin) … c'est à
  dire celles des entrées des éventuels trésors souterrains ……….. (on en reparlera au prochain
  chapitre ?)   D'autre part il est prouvable (et je
  m'y suis attelé) qu'il n'existe aucun autre tableau signé Téniers le Jeune
  d'aussi précis et convaincant que ces deux tableaux : 
  ''Les
  Tentations'' du
  Prado'' et ''Ermite méditant
  devant la grotte'', la ''super non Tentation'' du musée de
  Valenciennes.     Ils
  sont en effet les deux seuls tableaux de Téniers le Jeune faisant utilement
  référence à un tel point de signifiance à la section d'Or, et de surcroît ils sont non
  seulement complémentaires
  mais aussi supplémentaires, itou qui contiennent tous deux leurs justifications
  identiques, en forme de preuves mathématiques (et topographiques!), comme
  nous allons peu à peu le démontrer sans aller engueuler (et plus fort que
  ça!), les éventuels et inévitables contestataires.    Passons.   Ce tableau a été exhumé par monsieur le
  vicomte Thierry Héricart de Thury dans le profond des réserves
  du grand musée du Prado à Madrid. Merci à lui et à sa mémoire.  Nous ne le féliciterons rétrospectivement
  jamais assez.   Belle intuition, mais sa lecture
  personnelle fut, hélas, insuffisante (et inexacte).    L'œuvre n'eut jamais l'honneur d'être
  exposée (à nos connaissances-voir site du Prado) sur les cimaises du beau
  musée comme on n'essaya de nous le suggérer (sans vraiment oser nous le
  dire !).    Un tableau intéressant mais jugé secondaire
  …?    Un tableau d'art peut-être jugé mineur,
  mais peut être toutefois magnifique et très judicieusement crypté ou
  codé (nuance!), et nous allons voir ça.   Et par ailleurs, qu'on ne nous dise pas non
  plus qu'on joue les « coucous », malgré la saison, car nous avions (naïvement) cru au
  départ comprendre qu'on nous avait envoyé la superbe repro de la tentation de
  Madrid par David Téniers le Jeune
  expressément pour que nos recherches personnelles soient partagées et que
  nous puissions suivre celles des autres chercheurs et d'y répondre. En un mot : nous espérions y travailler collectivement et sérieusement.   Nous nous faisions encore quelques
  illusions !   Donc sept + un programmes au tableau, huit
  ''bombes à fragmentations'' chargées de tentations, sans rémission possibles
  pour les pauvres pécheurs qui ne peuvent ou ne veulent acheter leurs
  ''indulgences'', victimes de nouvelles et irrésistibles tentations,
  parce que devenant à force d'usure de la volonté, addictives, comme on dit si joliment aujourd'hui.    C'était l'effrayant avis et le jugement de
  l’Église catholique surpuissante, une très bonne affaire car ils inventèrent
  depuis longtemps un pardon monnayable, et qui devint une des règles
  cardinales de la morale coutumière, me disait-on, au bon temps du
  catéchisme.   Pour cela que nous crevions tous de
  trouille et n'osions plus respirer l'odeur supposée
  du soufre sans du tout comprendre, d'ailleurs à notre âge de quoi
  il retournait … car les parents à l'époque ne nous entretenaient de rien
  concernant les manières de vivre des adultes et les bébés officiellement
  naissaient encore dans les choux, au point que je fis cette réflexion
  caustique quand avec ma mère nous croisions une femme enceinte jusqu'aux
  dents  : « Qu'est ce qu'elle a la dame au ventre ? …
  c'est-y une grosse indigestion de choux farcis ...? » …    Très bien, mais alors, soyons sérieux,
  qu'en pense Dieu en sa grande et capitale solitude ? ...    Je n'en sais rien, ce n'est pas du tout mon
  affaire personnelle ni non plus la sienne de me le confier, encore moins le
  propos de l'article, mais en ce tableau, Dieu comme à son habitude demeure
  muet et naturellement ne demande rien à personne, et voici un silence au milieu
  d'un chahut indescriptible, tenu ma foi avec force dignité !  D'ailleurs lui a-t-on demandé son
  avis au sujet de cette invention des sept Péchés Capitaux par les
  savants docteurs des églises ??? Hé bien, non.   Il ne se mêle jamais de morale, Dieu, pas sa tasse de thé, ce dont il n'a d'ailleurs rien à faire, je
  le pense, car cette histoire doit se régler entre Jésus (le grand
  moraliste qui a été inventé et crucifié pour ça, et ressuscité à l'ombre de
  son caveau), Antoine le champion de la pureté physique et spirituelle
  qu'il assume en priant et méditant idem en un caveau abandonné, obscure, en
  Égypte, en attendant d'aller reprendre la vie séculaire, et enfin par la
  société dominante de l'époque gérant de son côté l'économie, les
  contributions, et ses privilèges (en mélangeant le tout) … et enfin, de temps
  à autres ses devoirs.   Bref. Regardons un peu le tableau avec
  sa cour des miracles à la mode traditionnellement drôlatique, flamande (et
  wallonne !) …  (les Téniers étaient de souche
  Wallonne, une famille de négociants, partis se regreffer et se refaire un
  nom, des rejetons et la cerise sur les bas pays de l’opulent Empire
  Hispano-Germanique !)    Une peinture du 16 ou du 17ème siècle possède
  en général au départ un support (un squelette) mécanique et géométrique ouvrant sur le modernisme triomphant depuis la Renaissance (mais sans
  ne jamais en piétiner l'esprit) en notre Occident qui du quatorzième au
  dix-septième siècle ignorait encore les maths et l'arithmétique pratiqués à
  un très haut niveau depuis perpète en Orient … on est soit disant des
  littéraires et nous le sommes toujours ! Mais les civilisations se doivent de
  jouer avec les deux mèches, et la science n'élimine pas obligatoirement non
  plus la spiritualité ! … ni même, l'humour et la lucidité !  
   15) Téniers Prado le rat en-chopé et l'oiseau empoté   A ce propos, et à bien y ressentir, je ne
  me sens pas d'aller bataillant comme en cette scène caricaturalement Dom
  Donquichottesque avec un rat pris en une chope à bière en terre cuite et vernissée,
  chapeauté par un entonnoir en lequel une chandelle allumée est entubée,
  chevauchant un poisson flottant en l'air et cracheur de feu, en haut
  du tableau du talentueux et caustique Téniers le Jeune, une scène rémanente
  en ses (trop) nombreuses Tentations, mais en vérité voila encore un thème
  original de J. Bosch,
  largement emprunté par Téniers le Jeune (il l'aurait donc pillé ? …
  comme disent certains … ah, le vilain !),
  nous montrant ici, nous le voyons, le chiffre quatre dessiné sur le jabot 
  du gros oiseau monstrueux coincé en un pot à salaisons à deux
  anses comme un jeune porc put y avoir été avant lui, certainement confit
  ! …(saine réflexion de Flo!)   A ce propos encore, qui se souvient d'une
  hilarante mais douteuse polémique, les uns lisant 1294, la date de l'abdication du pape
  Célestin V (sic) sur le jabot de l'oiseau !   (L'abdication d'un pape tel que Célestin
  V, figurez vous, représentée sur le jabot du gros oiseau coincé en un pot
  à graisse volant (ovni saindoux ?), n'est ce pas déjà suffisamment
  jubilatoire ? … Sans rire ?)   « Ne voila-t-il pas une nouvelle
  farce suffisamment pré huilée comme cela et prête à se faire sauter à la
  poêle juste avant d'être consommée ? » (une réflexion non pas de Pierre
  Dac, mais une sentence pertinente de Flo !) … « Je me demande ce
  que Saunière en penserait, ajoute-t-il ! … rien, certainement car il est
  bien possible qu'il n'aurait jamais possédé les fameuses trois repros
  des tableaux en question et que toutes ces légendes préfabriquées par des
  irresponsables, le gaveraient jusqu'à l'indigestion. »  
   16) Téniers Prado, on nous montre le 4 (quatre)   La farce tourna encore une fois au vinaigre
  par photoshop interposés et bien plus fort, retournera encore une fois au
  drame, au pugilat et puis finalement au lynchage du contradicteur le
  plus avancé accusé comme d'habitude, de ne rien comprendre au film ! Ce fut
  épique ! On s'en souvient ! …  En fait, je sais maintenant qu'à part le 4, qui est probable, il n'y aurait
  absolument rien de remarquable sans tricher pour nous qui cherchons à
  lire en écarquillant les mirettes, bêtement, sur le poitrail d'un oiseau
  monstrueux empoté et grassouillet, promis certainement à une crise cardiaque
  cholestérique, volant et bataillant avec un rat par contre bien trop maigre
  coincé en un bock à bière empli de lui même et sans doute reniflant
  certainement le parfum d'urine sèche mêlée à celle de la bière !
  Passons. C'est aussi ça, l’humour carnavalesque et grotesque Flamand, mais
  pour en avoir conscience, faut-il avoir déjà un gras sens de l'humour … ce
  qui n'est pas gagné avec tout le monde ! Alors laissons pour un moment ces
  joyeusetés carnavalesques, et reprenons grosso modo là où nous en étions
  la dernière fois :   ''Ici commencent les
  choses sérieuses'' pour citer mon vieux slogan. (il en était temps … pour paraphraser encore je ne sais
  qui ?)   Texte « Bergère … pommes bleues'' de
  64 x 2 = 128 lettres. Bien.    Regardez maintenant
  ce croquis, ce premier binages, deux triangles d'OR adjacents : 
   17) Téniers Prado le triangle d'or isocèle dit sublime à gauche et le
  triangle adjacent rectangle d'or, ordinaire, à droite.   Il représente la suite logique du
  premier tableau triangulé « Bergère pas de tentation ... » ça,
  alors !… ? … Voyez !Ahurissant ! Le début du lien avec le premier
  tableau analysé : ''Bergère pas de tentation'' !   Ce sont encore les oiseaux au ciel volant qui commandent comme au premier à la vérité géométrique !!! Les oiseaux de Téniers éternellement le Jeune ?   Magique ! Faramineux !   Spécialement en ce cas particulièrement rare
  et considérable, l'admirateur de Bosch, David le Jeune, dépasserait-il le
  Maître ?  Je pense qu'exceptionnellement, oui !  C'est très fort !  
   Serais-je déjà snobé ?    Jérôme Bosch n'y aurait-il pas lui même pensé ?  Suffirait peut être de remplacer nos
  oiseaux par des poissons volants, car les Pays
  Bas semblent être rêvés par nos visionnaires tels qu'un énorme
  aquarium en puissance, un jour (hélas) se retrouvant emplis de vols de
  poissons écailleux cracheurs de feu ! … L'art d'entrevoir un
  possible éminemment catastrophique, étant donné la rapidité de l'élévation
  des niveaux marins qui emporteront un jour prochain les digues !
  (Commentaires de Flo !) Voilà dons un excellent thème pour de
  nouvelles recherches ! 
 
   18) Téniers Prado, le poisson cracheur de feu.   En attendant … soyons un instant très sérieux
  nous aussi, les deux tableaux ont cette étonnante particularité commune.  Ce sont leurs oiseaux en vol
  dessinant (et pointant) des triangles d'Or ... Faramineux ! …
  des OISEAUX D'OR ! De quoi avoir pu rendre jaloux le très regretté et
  divin compositeur Olivier Messiaen.   
   19) Les points de repère du triangle Sublime   Comme quoi avec les artistes, la
  géométrie rejoint rapidement la poésie et le fantastique ! … la
  géométrie est aussi une sérieuse science poétique ! … (et ainsi directement
  commandant au décryptage ? Il est décidément, trop intelligent notre
  David !) (Flo dixit)   C'est parfaitement le triangle d'or
  isocèle qu'il nous fait, côté gauche, David !
  Quelle exactitude et quel talent ! On le nomme aussi le triangle SUBLIME
  par les grands initiés et par les autres également … mais tout de même
  conscients.   Superbe démarche avec la Section Dorée!,
  me confirme encore Flo, et le sommet de 36° démarre en bas sur
  le côté droit de la couverture du livre présumé saint …  le premier, le TGO du ''Bergère pas de
  tentation'', démarrait idem à droite du livre, pour le coup certainement
  saint !!!) …  Cet analogue grand livre ouvert
  ressemblant soi même à un grand oiseau.  Vous vous souvenez ?   Livre saint contre livre
  paillard ! L'anti thèse ! Tous les deux volent très bien, mais plus
  ou moins bas, comme en certains films d'animations. 
 20) Téniers Antoine abbé, alignement du livre paillard avec œil squelette
  et oiseaux côté droit triangle Or isocèle   Important :
  Remarquez l'analogie avec le tableau Bergère pas de Tentation : le
  même gros livre d'où part le triangle, dans les deux cas, du côté droit du livre, puis le gros oiseau du haut comme idem en ''Bergère … et au dessous
  nous retrouvons le même groupe de sept oiseaux en vol lointain, et avec le point de repère ici sur le second oiseau à partir de
  la gauche au lieu du troisième dans le premier cas où le point de
  repère coïncidait avec le sommet de l'angle obtus du triangle formé par le
  vol tandis qu'ici, légère différence, le vol n'est pas angulaire. Et cela est
  signifiant quand aux méthodes de décryptage.  De sacrées subtilités !   Alors, à ce niveau, c'est déjà du grand
  professionnalisme !   Qu'en pensent nos exégètes ? … et je
  me garde bien de tout leur montrer, à ces amateurs, hélas si médiocres
  mateurs d’œuvres d'art.   David Téniers le jeune avait vraiment de la
  suite dans les idées ! Moi aussi, sans doute, on se comprend très
  bien tous les deux sur ce plan là.    Il n'y a qu'à suivre en confiance les
  balisages oiselés comme immobilisés en vol, photographiés (le paradoxe de la photographie est de tuer le mouvement de la vie pour
  mieux en saisir la beauté ou la violence, voire la lisibilité, comme ici. ) … on monte et on prend l'angle imposé de 72° en se laissant guider vers, puis par les points très particuliers et précis (de l'église?) qui n'a que deux pans
  au toit du clocher, comme à Bugarach et à Antugnac,
  les deux seuls villages du Haut Razès conservant cette simpliste et bien
  rare particularité en Grand Razès, deux pans au toit de l'église 
  ... (Ce sont d'ailleurs mes deux villages
  préférés du Haut Razès …) 
   21) Tentation Téniers David Jeune l'angle de 72° des oiseaux.     Angle de 72° parfaitement juste, des oiseaux aux repères du 
  clocher et de la cheminée et enfin au 
  premier arbre du départ de la haie marquée d'un point noir par le peintre.  Toujours pas d'à peu près et que de la grande
  classe  !   Et au fait, cette drôle d'église du
  tableau serait-elle bien une véritable église (comme les nôtres en
  Razès) ?  Aucun signe particulier ne nous
  permet pourtant de l'affirmer, ce fut déjà dit et cent fois remarqué et
  répété !   On pourrait tout autant croire à une ferme
  ou un castel dominé par un simple pigeonnier à ouverture unique comme
  beaucoup de pigeonniers, entrée et sortie, ou une ordinaire tour carrée
  servant de grenier et de défense, cela existe, c'est même courent en
  certaines régions d'Europe, de grosses villas médiévales fortifiées. Et puis, une église dont la face d'entrée
  est constituée d'une porte trivialement rectangulaire et de deux fenêtres
  classiquement itou rectangulaires, et au dessus, sur les toits, portant de
  surcroît une (ou deux?) cheminées comme sur une maison d'habitation dans
  les fraîches Ardennes, est ce bien aussi concevable pour une église du Razès,
  placée sous cette latitude suffisamment tiède l'hiver pour qu'un peintre
  flamand puisse y prier sans se geler (les pinceaux ? … rajoute Flo, ce
  garnement si mal élevé !)  
 
   22) Téniers Prado, l'improbable église de Rennes le Château   Et enfin, à propos, comment se peut-il,
  dites moi que je rêve (dixit ce vaut rien de Flo !), qu'un grand exégète, et
  pas n'importe lequel, le principal, vous savez, celui qui avait
  inventé le nouveau titre du tableau ! … pas
  rien ! … et  le même qui aura vu
  l'improbable  Pech du Bugarach
  sur ce même tableau de David Téniers Jeune, aura imprimé puis réitéré très
  récemment cette sorte de délicieuse fantaisie très personnelle, que l'église du tableau était bien celle de
  Rennes Le Château. (sic)   
 23) capture commentaires sur chercheur 1681 et église   Et remarquez enfin qu'aucun disciple ni
  éditeur n'aura encore une fois eut le courage salutaire de lui faire remarquer
  son erreur, que l'église de Rennes le Château n'a jamais au grand jamais
  ressemblé à cela, et aura de tout temps possédé un clocher avec une toiture,
  soit peut-être à pan unique, ou bien comme depuis déjà bien longtemps,
  à quatre pans, mais jamais, grand Dieu, à deux pans comme on observe
  sur le tableau ... et c'est bien en cela que réside le plus croustillant de
  cette pusillanime affaire !    Bref … !   … enfin pour terminer notre réel triangle que nul
  parmi eux n'avait vu venir, et vous comprenez maintenant pourquoi, … on stoppe au premier buisson marqué discrètement d'un trait
  noir vertical (regardez bien) par David Téniers !  72° et re 72° indiscutablement
  marqués, pointés, jusqu'au retour au ''livre oiseau'' formant l'angle pointu de 36°.  Grand merci David.  Au moins, avec toi, c'est clair et
  rapide !    Du beau travail, observez chaque marquage !
     Cela redémarre plus fort encore qu'avec le tableau
  de la Bergère et son triangle TGO, avec ici, d'entrée, un triangle
  isocèle d'or, dit le Triangle
  Sublime (pour
  les seuls initiés ?) de 72° d'angles de bases et de 36° d'angle
  supérieur ! Sauf qu'en ce cas il est dessiné à l'envers à cause de
  l’adjacence d'un autre triangle.   Nouvelles gâteries de la Géométrie
  d'or !   On est comblés ? Non ! Pas
  encore ! Vous plaisantez ?   Car vous remarquez aussi qu'à sa gauche lui
  est accolé (adjacent) un superbe triangle rectangle d'Or, mais
  déjà plus ordinaire, dirons nous, mais ne
  faisons pas la fine gueule ! Nous en reparlerons a loisir plus
  tard en grand détail. Un régal assuré !   Car, de surcroît, le fin du fin, pourrait-il (miraculeusement ???) se faire ? …  Le bouquet, serait que nous terminions
  avec un TGO,
  le roi des triangles géométrique
  d'OR, le Triangle rectangles Géométrique d'OR ? … ? … le
  TGO ! Serait-ce là le trio parfait ? La totale ?    Un joli cadeau et la preuve qu'on
  ne s'est pas laissé trop engommer en fantasmagorie. (une des bonnes expressions de Flo)   Ce serait le
  pied ! … et ce fameux triangle bien existant et bouclant la boucle
  débutée sur le tableau de la bergère, sera révélé au chapitre
  suivant !   Mais chaque chose en son temps, pourquoi
  bouler quant tout est là et qui vous attend, si bien préparé et repassé par
  l'artiste ? Il faut laisser le temps au plaisir et savoir savourer
  le temps !  Ce sera pour le prochain chapitre. On n'est
  pas stressés ni pressés et à l'abri des bombardements ennemis !!! Nous voici en sécurité, bien protégés, en
  de très bonne caves, solides et abritant, ce qui ne gâte rien, les meilleurs
  chef d’œuvres picturaux et par ailleurs les plus fins nectars du monde
  civilisé comme dans l'Aiguille Creuse !    Nous sommes sur le boulevard magique,
  laissons nous guider et nous enivrer en vitesse promenade, sans crainte des
  contrôles et des coups de gueule gendarmesques, car nous n'avons pas fini de
  découvrir cette magnifique géométrie nous conduisant sans coup férir, aux
  clés que tenait Téniers David le jeune, d'ailleurs, je le pense, présent, lui
  même, devant notre nez comme l'était la Bergère… ''clefs en main'' …
  et il n'est pas le seul personnage connu au tableau à être ainsi
  caricaturé par David le Jeune, donc une auto portrait caricaturé, car il
  avait beaucoup d'humour et de malice grinçante (et d'auto dérision), notre
  David le Jeune, beaucoup trop pour ne pas risquer agacer les grands, les
  petits, les médiocres et les rois avec leur cour !!!    Et heureusement que je n'ai copié sur
  personne ! Idem pour le Christ de Gardie, dont j'ai eu le privilège irremplaçable d'avoir eu droit de mémoriser le
  schéma alors occulté, dessiné sur le dos de la toile isolée qui
  m'attendait patiemment avant de partir au labo afin de
  restauration (excellente!) ! … d'ailleurs, puisque j'y pense, il serai
  grand temps que j'en parle sans entrer dans les détails, ni trahir les
  individus éclairés qui m'ont porté jusque là … mais cela après les probables
  et nouveaux bombardements et débordements de fureurs unilatérales mais
  sans aucun des effets escomptés, bien au contraire.  ''Il arrive que la bêtise des autres
  nous motive'' (fausse citation du philosophe
  Desproges ! … un autre Limousin !). Et nous avons tous la même solide endurance
  et patience d'Antoine !    Bref … Ce triangle isocèle d'or ici
  présent, dit triangle Sublime, fonctionne comme au précédent tableau avec
  son Triangle Géométrique d'Or, car les deux figures débutent d'un
  tableau l'autre, à partir de la ligne de couverture droite d'un même grand livre ouvert,
  mais que tient ici un participant au ''traditionnel
  chahut déstabilisateur spécial anti ermite en méditation''.   Qui gagnera ?  Aucun suspens, c'est la divine géométrie,
  pardi !  ...G. ! ...la
  science sacrée.  C'est joué d'avance, je n'y peut
  rien ! Ces tableaux sont bâtis pour fonctionner comme ça !   Mais cependant,
  permettez, un instant encore, puisque nous sommes aussi des 
  joueurs invétérés, risquons une hypothèse : Osons jouer nous
  aussi ! On peut se le permettre !   Et si c'était (encore)
  64 cm, le périmètre du Triangle Sublime, 64, le nombre ! ... comme
  le périmètre du T.G.O. du tableau précédent, le triangle géométrique d'Or de
  la première toile du musée de Valenciennes ''Ermite méditant devant une
  grotte'' et qui fut facile à vérifier pour moi sur une photo grandeur
  nature !   Cela resterait à voir de plus près
  pour le Triangle Sublime ?   Mais 64 étant toujours le nombre de lettres demeurant
  prisonnières par la volonté d'un nommé Philippe de Chérisey dans le
  premier et dans le second échiquier, par celle d'une soit disant
  fantaisie du poète, et encore aussi et précédemment d'un soit disant code de Vigenère
  (ce dernier doit bien rigoler là où il est … en compagnie d'Alain Féral, le
  subtil), mais cryptage qui ne pouvait être, selon De Chérisey, compris que
  par un autre ''poète'' d'âge conséquent, puisqu'il lui est conseillé d'avoir
  vaincu en sa vie le DAEMON DE GARDIEN, A MIDI* (voir notes en fin
  étude) , ce démon de Midi* (de la vie), sexuellement, dit on,
  fort tyrannique, celui de la maturité, avec son gardien traditionnellement
  se devant de tomber sous la canonnade symbolique des douze coups de MIDI !    Alors ce que je
  peux dire instamment, (mais nous le démontrerons en détail au chapitre
  suivant) c'est que le nombre 64 (les 64 autres lettres
  contenues dans la seconde grille) se prêtent fort judicieusement à la triangulation
  du triangle rectangle d'Or adjacent à l'isocèle dit Sublime du tableau
  présentement analysé !    Et voilà ce que
  cela nous donnera :    « LA CROIX ET
  CE CHEVAL DE DIEU // J’ACHÈVE CE DAEMON DE GARDIEN A MI // DI POMMES BLEUES. »   Donc, sur ton programme
  il est bien MI- DI, docte Antoine, MI- DI exactement placé sur le
  point du sommet de l'angle droit du triangle d'or rectangle adjacent au
  Triangle Sublime des grands initiés, OK ? Cela du moins, c'est
  l’exactitude, pas du flan ni du roman à quatre sous !    Regardons pudiquement ailleurs, là il est
  bien marqué sans conteste MIDI sur l'instrument d'époque bon à repérer le temps, posé sur la petite ''vanité
  d'Antoine'', observez de près son sablier où le temps écoulé est
  égal au temps restant à écouler pour faire le jour symbolique, coupé en deux parties égales comme les deux
  parties d'une drôle d'horloge … matin et soir ...    Deux égales
  épaisseurs de temps !    Remarquons que le peintre
  n'aura pas suggéré visiblement de filet de sable gravitant vers le bas !
   Superbe cryptage, alors ! …  Aucun doute, Teniers
  le jeune nous aura arrêté le temps exactement à MIDI. 
   24) Téniers Prado le sablier marque MIDI   Comme je vous le disait au départ, un tableau
  de plus en plus hors du temps et hors de l'histoire !   25) Téniers Prado, le sablier marquant
  MIDI intègre une Vanité parfaite   Vanité peinte
  très subtilement par le même Téniers David éternellement Jeune, le plus doué
  de la lignée des Téniers … elle est presque identique à la celle très célèbre
  de Philippe de Champaigne … mais celle de David le Jeune restera en
  ce tableau à jamais figée à midi ! Il est bien MIDI
  sur le tableau ! Et David Téniers le Jeune,
  l'aura voulu ainsi ! 
   26)  Vanité de Philippe Champaigne   Tu es au midi de
  ta vie, cher Antoine,
  radote ton sablier ! C'est l'heure d'arriver à bout de ton daemon de
  gardien !  (« Alors, fantasmais-je? … ou
  poétisais-je? », se demande le pauvre Antoine un peu sonné retournant à
  ses prières, car que voulez vous qu'il fasse d'autre en ce désert ?) …    Mais, pas du tout, en vérité, il n'y
  a déjà plus de désert !    David le futé aura installé notre ermite
  préféré en une belle et riche campagne pleine de légumes, arrosée de soleil
  doux, de sources fraîches et pures, de chrétiens (bien sûr) et d'oiseaux D'OR ! … comme un avant
  goût du paradis ? … et non pas réalistement là où il s'était
  réfugié contre l'agression des terribles démons, dans un caveau vidé de ses
  momies quelque part dans le désert Égyptien comme nous l'enseigne
  la légende dorée.  Et franchement les démons de David Téniers le
  Jeune n'ont rien te très effrayants … Je ne vois qu'un
  ridicule grotesque en ces pantins caricaturaux, et le ridicule ne tue
  personne ...    
   Au fait, certains internautes m'ont écrit,
  me demandant ce qu'il fallait entendre par DAEMON DE GARDIEN ?   Voici un bout de réponse, un daemon est un mot n'existant pas dans la langue
  française !    Par contre il existe en la langue anglaise archaïque,
  et il est curieusement associé à la notion de gardien, et ses synonyme
  sont en anglais ''daimon'', idem archaïque et demon, le mot
  moderne, en français, démon …    D'après le dictionnaire anglais Collins, un
  DAEMON serait soit un demi dieu, soit encore le gardien de la place, en un sens spirituel (aussi mais rarement désignant une
  personne)… ce qui avait échappé, je crois, à notre ami monsieur Henry Lincoln
  qui était pourtant britannique, mais n'aura pas échappé au subtil Philippe
  de Chérisey.   Important : Ce mot encore inexpliqué à ma connaissance par les nombreux auteurs et
  exégètes, est donc dans la formule employée à double sens
  par de Chérisey, entre celui de DAEMON (anglais archaïque, gardien de la place) et DÉMON (français moderne) … en son fameux long
  texte descriptif où il développe à plaisir cette très intéressante ambiguïté entre
  le sens symbolique du ''daemon gardien de la place'' et le démon petit
  diable ! (Asmodée) en l’occurrence le démon … de MIDI tourmentant le
  très chaste Antoine !   Dans le quatrième et dernier chapitre, je
  vous donnerais une traduction personnelle et circonstanciée de ce demi texte
  paraissant très abscons et contenant 64 lettres : ''Par la croix et
  ce cheval de Dieu j'achève ce daemon de gardien à midi pommes bleues''.   A suivre,
  donc, décidément, car avec toutes ces histoires torses ou droites, le
  principal nous reste encore à révéler !  Quel boulot nous attend encore ! …
  (surtout pour les lecteurs !?) Merci beaucoup à eux et à leur
  patience!   Signé Jean-Marie Villette, toujours jeune
  et fringant en son soixante quinzième printemps, malgré les bombardements
  intenses de ce début de printemps orageux ... qui n'ont fait que le
  conforter et le remotiver !    « Merci au artilleurs louches et aux
  tireurs strabiques (Cette caustique expression est de Flo) »   Et grand merci à
  l'incorruptible et fière Adela qui me supporte, et aux
  amis sincères qui nous soutiennent discrétos, de plus en plus nombreux ... 
   27 (fin de vie de Téniers le jeune), on retrouve les motifs de la
  Tentation dite du Prado        |