Teniers, Le Jeune(6)




"Bergère, pas de tentation, que Poussin Teniers gardent la clef PAX, DCLXXXI ( 681) par
la Croix et ce cheval de Dieu, j'achève ce daémon de gardien à midi pommes bleues"


 

 

Les Habsbourg

Aussi bien Teniers mène aux Habsbourg que Poussin au milieu papale. A des papes, tantôt pro Habsbourg c´est à dire Impérial , tantôt pro- français, pions placés sur l´échiquier qui feront pencher la balance du jeu politique.

 

C´est bien là l´essence à demie voilée du tableau de Célestin V, avec son anachronisme parlant.  La mort de Célestin V servit d´excuse à Philipe le Bel pour faire déménager le pape en Avignon  et en finir avec les templiers de la France mais non avec le Temple.

Temple qui s´enracina très fort au Port du Graal. Pays de Luz, dont la lumière éclaira les premiers bateaux d´Henri Le Conquerrant. Philippe de Bourgogne ambitionnait ses cartes navales, malheureusement les Bourgogne n´étaient plus sur le trône portugais. Il envoya pour copier les cartes son peintre de cours et ami, Van Eyck qui fut assassiné très peu de temps après son retour au pays flamand. 

Qu´importe la «  Colombe Porteuse du Christ » décorée de la croix de ses Chevaliers lusitains réussit à chiper les fameuses cartes. Tout nous est inconnu de Colomb, sauf qu´il savait où il allait. Chercher l´Or des Templiers ? peut-être, mais quelque soit  son origine, l´or revint aux Habsbourg.

Ces Habsbourg qui faillirent unifier l´Europe et les Amériques, le Nouveau Monde, le Paradis terrestre, l´Arcadie. Eux qui se prenaient pour rois de SION,  furent aussi introduits dans l´histoire de Rennes-le-Château sous la plume de Gérard de Sède.

 

Les Habsbourg à Rennes-Le-Château



Armide devant Godefroy de Bouillon par Teniers au Prado de Madrid

Emma Calvé , qui revient dans cette énigme, comme la cantatrice des Tintin, que Bérenger aurait connu lors de son supposé voyage à Paris serait descendu à Rennes. Cette soprano acheta le château de Cabrière, et le restaura, mais vers la fin de sa vie, endettée elle l´aurait vendu à son amie Madame Hurbin, châtelaine de Creissels prétendue avoir été durant près de dix ans la préceptrice des enfants de Habsbourg.

La comtesse de Chambord aurait  mit à la disposition de l´abbé 3 000 francs or, Cette comtesse n´est autre que
Marie-Thérèse de Modène, fille de François IV de Habsbourg, épouse en Henri d'Artois, comte de Chambord, prétendant légitimiste au trône et petit-fils de Charles X de France.

Le couple n'eut pas d'enfant, la branche aînée des Bourbon de la Maison de France s'éteignit avec son mari.

G. De Sède écrit à propos des trouvailles dans l´église de Rennes-le-Château : 
En 1886 ,alors que son traitement est toujours suspendu, il avance pour effectuer les réparations les plus urgentes une somme de 518 francs OR. D’où la tient-il ? Assurément pas de ses « fonds secrets dérisoires ...”

Puis Gérard ajoute : «  Il n’est point certain non plus que cette somme provienne d’un don de la Comtesse de Chambord, ainsi qu’il ( Saunière) prétendra plus tard, épouse et veuve du Prétendant au trône de France. C’est en 1886 que la Comtesse mourut.” Bérenger arriva à Rennes en 1885 Eut-elle le temps d´effectuer cette donation ? Elle disposa d´un ans, c´est donc possible.


Mais comme le fait le Figaro Magazine on peut s´en étonner :
Pourquoi la veuve de l'héritier du trône de France lui remet-elle une somme aussi importante ? D'autant plus qu'elle est apparentée à cette famille des Habsbourg qui est, à I’époque, détentrice des pouvoirs politique, financier, économique et religieux en Europe. L'empereur d'Autriche a un droit de veto sur l'élection du pape. Pourquoi quelqu'un d'aussi important s'intéressera –t- il au sort d'un petit curé ? 

Zita de Bourbon, princesse de Parme ou Zita de Habsbourg (1892-1989) la dernière impératrice d'Autriche est sensée être passée aussi par le domaine du curé.

Puis Jean Salvador de Habsbourg-Toscane, Archiduc d'Autriche, neveu de l´empereur François Joseph I, se serait  rendu à Rennes-Le-Château en visite chez l´abbé Saunière, sous le nom de Jean Orth, entre
novembre 1889 et février 1890.



Une Mystérieuse Disparition et une Tombe Anonyme


Jean Orth

Un certain Monsieur Guillaume, que l´on prêtant envoyé par la Comtesse de Chambord, déjà veuve, aurait apporté la somme de 3 000 francs or à Saunière. Comme on peut apprécier on ne sait toujours pas l´origine de cet or, mais si son montant invariable.

Ce Guillaume ne serait autre que l´ex archiduc d´Autriche Jean Salvador, qui dès son exil porta le nom de Jean Orth.


Ce serait lui qui aurait demandé de commencer la recherche de documents cachés dans la vieille église de Rennes-le-Château, ceux qu´aurait cachés l´abbé Bigou avant de partir pour l´Espagne.


C´est un bien étrange personnage que ce Jean Orth, sans faire aucune allusion à ce village Audois. Voyez !

Avec  son cousin, l'archiduc Rodolphe de Habsbourg-Lorraine, fils de l´empereur,  Jean fomenta un complot contre ce dernier, époux de la fameuse Sissi. Lui hériterait du trône de Hongrie, tandis que trône impérial d'Autriche reviendrait à son cousin.

Mais quelque chose tourna mal dans l´affaire et le 30 janvier 1889, l'archiduc Rodolphe de Habsbourg-Lorraine mit fin à ses jours dans le pavillon de chasse de Mayerling. Un double suicide puisque le seul héritier directe au trône était accompagné de son amante Marie Vetsera .

Mort de Rodolphe....Mort d´un Complot

La police de François-Joseph avait-elle découvert le complot planifié par les deux cousins ? Rodolphe aurait été poussé au suicide ? La fin tragique de Rodolphe et de Marie Vetsera cacha-t-elle la réalité :  celle de l'assassinat d'un fils héritier de la Couronne impériale d'Autriche coupable de conspiration contre son père l'empereur François-Joseph ? On ne le sait toujours pas, voyons la chronologie des faits.

La vie amoureuse du prince finit par passer facture, il soufre une blennorragie qu´il contamine à son épouse qui en conséquence ne peut plus avoir d'enfants, ils n´avaient qu´une fille. Rodolphe se « soigne » avec des coquetels de  morphine, de la cocaïne et de l'alcool la conséquence est un état de dépression et d'anxiété.


   
Le Prince Rodolphe et Marie Vetsera

 

Déjà durant l´été de 1888 il proposa à sa maîtresse Mizzi Caspar de se suicider avec lui. En automne, par l'intermédiaire de sa cousine la comtesse Marie-Louise Larisch, il connaît Marie.

Le 26 janvier 1889, le prince Rodolphe a une violente dispute avec son père, mais on ne sait pas si l'empereur était en colère parce que Rodolphe a demandé au pape l'annulation de son mariage ou s'il a exigé que son fils rompe avec Marie Vetsera.

Le 27 janvier, Rodolphe va voir sa cousine Marie-Louise et lui apprend qu'il est en danger. À la question de savoir si le danger vient de Stéphanie, la femme de Rodolphe, celui-ci répondit : « Stéphanie ! Ah non, elle ne représente qu'un malheur privé. Le danger qui me menace est de nature politique. »

Le 28 janvier, Marie et Rodolphe quittent chacun de leur côté Vienne pour se rendre au pavillon de chasse de Mayerling, où le prince héritier doit chasser avec le comte Hoyos et le prince Philippe de Cobourg. Rodolphe envoie des lettres d'adieux à ses proches et écrit au chef de section au ministère des Affaires étrangères d'ouvrir seul son bureau et de détruire toutes les lettres de la comtesse Larisch et de Marie Vetsera.

 

Le 29 janvier, les deux invités, le comte Hoyos et le prince Philippe de Saxe-Cobourg, beau-frère de Stéphanie, arrivent à Mayerling. Ceux-ci ne soupçonnent pas la présence de Marie Vetsera.

Rodolphe et Marie sont retrouvés morts au matin du 30 janvier 1889 dans le pavillon de chasse, tués par balles. Un suicide organisé par Rodolphe et sa maîtresse ou un attentat politique? Le voile reste épais concernant les circonstances de sa mort.

Il semble que Marie ait été enceinte de quatre ou cinq mois au moment de sa mort. Rodolphe meurt sans héritier mâle.

Quand l´Archiduc devient Jean Orth

L'archiduc adressa un courrier à l'empereur d'Autriche dans lequel il informait François-Joseph Ier de son désir de renoncer à ses titres, à son rang et à ses privilèges. Il serait dorénavant un simple citoyen autrichien, avec pour nouveau nom :  Jean Orth.

Mais le vieil empereur souffrait beaucoup de la fin tragique de son unique fils et ressent pour l'archiduc une rancune tenace. En effet, François Joseph Ier d'Autriche jugeait que son neveu était en partie responsable de la mort de l'héritier. Il n'eut donc envers Jean de Habsbourg-Toscane aucune pitié.

La réponse de l´empereur à la lettre de Jean fut sans appel. Il décréta le retrait de la nationalité autrichienne à l'archiduc, et lui interdit de résider au sein de l'empire austro-hongrois.

Jean est donc contraint à partir, mais avant de quitter l'Autriche, il récupéra un COFFRET EN FER confié à la comtesse Marie von Wallersee-Larisch par l'archiduc Rodolphe de Habsbourg-Lorraine à la veille de sa mort.

 

L´Amérique !

L'archiduc se rendra en Grande-Bretagne, où l'attendait un navire, le Santa-Margherita, goélette acquise par un citoyen autrichien, un certain Jean Orth.

L'ex-archiduc embarqua à bord de son navire avec son épouse, le navire leva l'ancre à Portsmouth le 26 mars 1890. Le brick-goélette traversa l'océan Atlantique et fit escale à Buenos Aires.

En Argentine, Jean Orth adressa à un de ses amis journalistes, un certain Paul Heinrich, un courrier dans lequel il lui exposait ses projets pour l'avenir: découvrir la Patagonie, la Terre de Feu et les environs du Cap Horn.

En juillet 1890, le Santa-Margherita reprit la mer et se dirigea vers le sud. Ce fut la dernière fois que l'on vit le navire avec à son bord Jean Orth, son épouse, les hommes d'équipage, le commandant et quelques passagers.



Disparition et Réapparitions de Jean Orth
ou Qu´Allait-il Faire en Cette Galère ? 

Lors des recherches ordonnées par François-Joseph Ier d'Autriche, le navire resta introuvable, on ne retrouva  même pas les débris du Santa Margherita. La Goélette avait disparu par enchantement. L´ex-archiduc fut déclaré disparu.

Mais, chose étrange, sa mère l'archiduchesse Marie-Antoinette de Bourbon-Siciles ne porta pas de vêtements noirs en signe de deuil, malgré tout l'amour maternel qu'elle portait à son fils. Jusqu'à sa mort survenue en 1898, celle-ci refusait toujours de porter le deuil.

Aussi étrange, les proches des marins du Santa-Margherita ne réclamèrent aucune aide, aucun secours. Des affaires d'assurances pour le moins étranges laissèrent penser que Jean Orth était toujours en vie, que son navire aurait touché terre à La Plata en décembre 1890.

D'étranges apparitions alimentèrent le mystère de la disparition de Jean Orth. Les apparitions des princes se renouvelèrent, comme celles concernant Louis XVII de France, ou plus tard la grande-duchesse Anastasie Nicolaïevna. Mais les divers témoignages ne sont à nos jours pas très convaincants.



Un Tombeau…

Un témoignage plus plausible est celui du comte Jean de Liniers. Ce voyageur français aurait déclaré avoir rencontré au pied du volcan Fitz-Roy un certain Fred Otten, un berger partageant son ranch qu'il baptisa Canadon Largo avec un anglais et un allemand. Cet étrange ranchero lui aurait avoué être Jean Orth, il lui avoua également sa séparation avec son épouse dés l'embarquement en Angleterre. Qu'est devenue Ludmilla Stubel ? Pourquoi a-t-elle laissé subsister le mystère autour de sa personne ?

Deux ans plus tard le comte français repasse par là. De retour en Patagonie, Jean de Liniers ne découvrit qu'une tombe anonyme au pied du volcan. Qui fut inhumé dans cette tombe ? Est-ce l'ex-archiduc ? Peut-être faut-il tourner nos regards vers le Brésil, la famille d'Orléans- Bragance connaît-elle quelques secrets sur la fin mystérieuse d'une des victimes de l'effroyable tragédie de Mayerling ?



Jean Orth  fut déclaré mort en 1890… voyagea-t-il à Rennes-Le-Château ? que fit-il ue coffre en fer légué par son cousin Rodolphe après  son « suicide » ? Que contenait ce coffre ? On comprendrait alors pourquoi il s´y présenta simplement comme Mr Guillaume.

Bérenger Saunière, à la mort de son "protecteur", Monseigneur Billard en 1903, puis de celle du pape Léon XIII ,ami de la famille de Habsbourg, vie sa fortune mise en cause avec les nouveaux arrivés : l´évêque de Carcassonne, Monseigneur de Beauséjour, et le pape Pie X.

Les Naufragés du « Jonathan »

Les Naufragés du « Jonathan » est un roman de JULES VERNE et de son fils Michel Verne. Vers 1891, donc juste un ans après la mort présumée de Jean Orth, Jules Verne a écrit une première version de ce livre sous le titre de "En Magellanie" (édité qu´ en 1999), puis, après sa mort en 1905, son fils a repris le roman et l'a édité en 1909.


 


En résumé : Un prince européen a décidé d'aller vivre en solitaire sur l'île Hoste, près du Cap Horn, où il mets ses connaissances au profit des indiens, qui l'appellent le Kaw-Djer (sauveur, comme Jean Salvador ).

Un jour, Le Jonathan fait naufrage sur l'île, avec à son bord plusieurs centaines d'immigrants. Le Kaw-Djer, amené à devenir le chef de cette communauté finira par se retirer sur l'île Horn, pour finir sa vie seul.

Francis Lacassin, dans la préface de Famille-sans-nom, indique que Michel Verne a modifié la fin du roman : Dans En Magellanie le Kaw-djer est influencé très fortement par deux prêtres catholiques à la fin du livre.

Par contre, dans la version de Michel Verne, aucun prêtre ne joue de rôle ; aucun être humain n'arrive à la cheville du Kaw-Djer.

L'accès à l'île Hoste peut se faire actuellement par mer, grâce aux navires effectuant la liaison entre Punta Arenas et Puerto Williams( GUILLAUME !) par le canal Beagle.

Le prénom William vient du prénom germanique Wilhelm : wille, "la volonté" et helm, "protection : la volonté protectrice ! Il s'agit de la version anglo-saxonne du prénom Guillaume.

La Patagonie Terre de Jehan !

Le premier titre du roman de Jules Verne rend hommage au découvreur de la Patagonie, Magellan . Or sur ses livres de bord cet explorateur portugais, décrit ses habitants comme des GEANTS primitifs. Ils en baptisent un du nom de Jehan.
 
« Quand il fut devant nous, il commença à s'étonner et à avoir peur, et il levait un doigt vers le haut, croyant que nous venions du ciel. Il étaient si grand que le plus grand de nous ne lui venait qu'à la ceinture. Il était vraiment bien batí »
 « 
Il demeura longtemps avec nous, et à la fin nous le baptisâmes et lui donnâmes le nom de Jehan. Le dit géant prononçait le nom de Jésus, le Pater noster, l'Ave Maria et son nom aussi clairement que nous. Mais il avait une voix terriblement grosse et forte»….
 « Le Capitaine appela cette manière de gens Pataghoni» Extraits de la Relation du premier voyage autour du monde par Magellan de 1519 à 1522

Souviens-Toi de Ta Mort !

 


 Memento Mori de Teniers

Mommento Mori, ou Souviens-toi de ta mort ! sur lequel bien entendu on retrouve le crâne, mais aussi un globe terrestre montrant le nouveau continent, sans la Patagonie, puis une carte affichée sur le mur, qui cache son contenu.


La Mort qui nous attend au tournant du chemin…


Le Chemin Tournant dans un Site Montagneux



Le Chemin Tournant Dans un Site Montagneux , un Teniers qui appartenu  aussi au Dr Louis La Caze, paysage marqué par un X.

On y voit un village près d´une rivière et un autre village, ou une tour placé sur le mont. Ce tableau se trouve au Louvre.

Deux hommes en pleine conversation, l´un deux, celui à la coiffe rouge, tient un bâton bien verticale, placé sous ce X, mais décalé légèrement de son centre. Allusion à la Méridienne ?

Comme à Rennes-Les-Bains on peut admirer le calvaire au tournant du chemin qui mène à l´autre Rennes, celle du haut, en passant près de la source Madeleine, la Gode.

Ce
Christ Roux est inversé, sa plaie est  sur le côté droit, celui du cœur. Sur son piédestal on lit E.Calvet. Il indique aussi la Méridienne de Paris ou RoseLine.

"Bergère, pas de tentation, que Poussin Teniers gardent la clef PAX, DCLXXXI ( 681) par
la Croix et ce cheval de Dieu, j'achève ce daémon de gardien à midi pommes bleues"


Cette phrase, issue par la méthode de Vigenere du grand parchemin, quelque soit l´origine de celui-ci, en appliquant le code "Mort-épée" trouvé sur l'épitaphe de la de la stèle de Marie de Nègre d'Ables, reste énigmatique.

On ne peut pas dire que les Tentations de saint Antoine de Teniers aient apporté grande chose au chercheur de Rennes-Le-Château.
Pourtant  David Teniers est inclus dans cette énigme depuis le déchiffrages des parchemins, au même titre que Nicolas Poussin.

Est-ce bien de Tentations qu´il est question ?

Le plus simple est de penser que Poussin renvoie à un sépulcre avec ses Bergers d´Arcadie, et que Teniers,  par ses Tentations, à un lieu souterrain, marqué par une croix, une crypte, un ermitage ou une simple grotte, indiquée par cette marque chrétienne, contenant  ce dit tombeau.

D´autre part Saint Antoine est le patron des cimetières, que Saunière vandalisait et on ne peut oublier cette fameuse dalle de Marie De Nègre

qui aurait été transportée des Pontils au cimetière de Rennes-le-Château et qui contenait la clef de déchiffrage du parchemin.

Pourtant le tombeau des Pontils, entre Serres et Arques, n´existait pas en cet endroit du temps de Poussin.

Ce qui pousse à chercher dans la vie de ce grand maître de la peinture, et dans ses autres œuvres qui sont aussi très parlantes,

comme nous avons déjà pu apprécier. Avec Teniers nous serions- nous trompés de thème ? car ses Tentations en disent très peu, au contraire de certaines de ses autres toiles. Par ailleurs la phrase dit bien

PAS DE TENTATION ! alors ?


 
Suite : Les Inversions de Teniers ( par Loup )